Une délégation de syndicats de greffier a été reçue hier par le conseiller du Premier ministre chargé des associations.
Les greffiers de Côte d’Ivoire veulent être mieux considérés. Hier, leurs principaux syndicats ont remis, dans un document, les revendications de leur corporation au conseiller du Premier ministre chargé des associations et Ong, Félicien Sékongo. Durant cette rencontre d’échanges qui s’est déroulée à la primature, les greffiers ont demandé que leur corporation soit traitée avec plus de dignité. « Que l’Etat accepte de placer le greffier à la place que lui donne la loi ivoirienne. Sans lui, l’appareil judiciaire est bloqué. Il faut donc lui éviter les frustrations dans la gestion de la famille judiciaire », a indiqué, au nom de l’ensemble de greffiers, Me Ali Kamagaté, secrétaire général de la Faitière judiciaire (cette faitière regroupe toutes les associations de greffiers).
Les revendications, quant à elles, n’ont pas été dévoilées. “Tous les détails de nos recommandations sont consignés dans le document que nous avons remis au conseiller du Premier ministre”, a répondu Me Ali Kamagaté, interrogé après la rencontre. Félicien Sékongo a dit prendre bonne note et promis transmettre le document à son patron. Mais avant, il a indiqué que cette rencontre répondait au souci du Chef du gouvermenet de maintenir le dialogue avec les travailleurs. « Il s’agit pour le Premier ministre d’établir le dialogue avec les syndicats. Afin qu’ensemble, les revendications tiennent compte de la situation du pays », a indiqué le conseiller de Guillaume Soro.
Toutefois, le conseiller du Premier ministre a assuré les greffiers de la volonté d’ouverture de la primature au dialogue. « Le Premier ministre est totalement ouvert », a-t-il assuré. Au cours de cette rencontre, Sékongo Félicien a aussi exhorté ses hôtes à s’impliquer davantage dans le processus de réconciliation, cher au président de la République, Alassane Ouattara. Notons que la faitière judiciaire regroupe la Mutuelle des administrateurs, attachés, et greffiers en chef de Côte d’Ivoire (Maagci), le Syndicat du personnel judiciaire de Côte d’Ivoire(Synapejci), le Syndicat autonome des greffiers de Côte d’Ivoire (Sagci), l’Union nationale des greffiers de Côte d’Ivoire (Unagci) et le Syndicat national des greffiers de Côte d’Ivoire(Synagci).
Ténin Bè Ousmane
Les greffiers de Côte d’Ivoire veulent être mieux considérés. Hier, leurs principaux syndicats ont remis, dans un document, les revendications de leur corporation au conseiller du Premier ministre chargé des associations et Ong, Félicien Sékongo. Durant cette rencontre d’échanges qui s’est déroulée à la primature, les greffiers ont demandé que leur corporation soit traitée avec plus de dignité. « Que l’Etat accepte de placer le greffier à la place que lui donne la loi ivoirienne. Sans lui, l’appareil judiciaire est bloqué. Il faut donc lui éviter les frustrations dans la gestion de la famille judiciaire », a indiqué, au nom de l’ensemble de greffiers, Me Ali Kamagaté, secrétaire général de la Faitière judiciaire (cette faitière regroupe toutes les associations de greffiers).
Les revendications, quant à elles, n’ont pas été dévoilées. “Tous les détails de nos recommandations sont consignés dans le document que nous avons remis au conseiller du Premier ministre”, a répondu Me Ali Kamagaté, interrogé après la rencontre. Félicien Sékongo a dit prendre bonne note et promis transmettre le document à son patron. Mais avant, il a indiqué que cette rencontre répondait au souci du Chef du gouvermenet de maintenir le dialogue avec les travailleurs. « Il s’agit pour le Premier ministre d’établir le dialogue avec les syndicats. Afin qu’ensemble, les revendications tiennent compte de la situation du pays », a indiqué le conseiller de Guillaume Soro.
Toutefois, le conseiller du Premier ministre a assuré les greffiers de la volonté d’ouverture de la primature au dialogue. « Le Premier ministre est totalement ouvert », a-t-il assuré. Au cours de cette rencontre, Sékongo Félicien a aussi exhorté ses hôtes à s’impliquer davantage dans le processus de réconciliation, cher au président de la République, Alassane Ouattara. Notons que la faitière judiciaire regroupe la Mutuelle des administrateurs, attachés, et greffiers en chef de Côte d’Ivoire (Maagci), le Syndicat du personnel judiciaire de Côte d’Ivoire(Synapejci), le Syndicat autonome des greffiers de Côte d’Ivoire (Sagci), l’Union nationale des greffiers de Côte d’Ivoire (Unagci) et le Syndicat national des greffiers de Côte d’Ivoire(Synagci).
Ténin Bè Ousmane
