Apres avoir gardé le profil bas pendant huit mois, Mamadou Ben Soumahoro a mis fin à son silence juste pour insulter la Première dame Dominique Ouattara. Le seul crime de la présidente de Children of Africa est d’avoir été décorée le 6 décembre par la grande Chancelière, Henriette Diabaté. Que c’est méchant ! Rien que de la méchanceté gratuite contre une honnête femme qui se bat au coté de son époux pour réduire la pauvreté et semer la joie dans certaines femmes meurtries par la décennie de gouvernance du régime Gbagbo
Ces attaques injustifiées de la part d’un ex-député par défaut, sont révoltantes. Loin de nous toute idée de nous ériger en avocat de la Première dame, mais force est de reconnaitre qu’elle a passé sa vie à aider les femmes et les enfants démunis. Et ne mérite pas, de ce fait, d’être traitée de la sorte par un individu qui est entré dans l’histoire de la Côte d’Ivoire par la fenêtre.
Parvenue au pouvoir, rien n’obligeait Dominique Ouattara à continuer ses actions caritatives en faveur des enfants démunis. Elle n’a pas attendue l’avènement d’Alassane Ouattara au pouvoir pour créer ses entreprises en Afrique, en Europe et en Amérique. Depuis 1999 qu’elle aide les pauvres sur fonds propres, elle ne rasait pas les murs des différents palais présidentiels pour récolter les strapontins. D’ailleurs, le 24 février, elle organise au palais des congres de l’Hôtel Ivoire, un gala en vue de récolter des fonds pour offrir un hôpital aux enfants et aux femmes à Bingerville. Ça, c’est de l’utilitaire et du concret. Elle ne plonge pas la main dans les caisses de l’Etat pour mener les activités de son Ong.
Mais à contrario, qu’est-ce que Ben Soumahoro a posé comme acte dans ce pays qui pourrait être brandi comme son œuvre, à part la courtisanerie. Qu’a-t-il fait de mémorable au plan national et qui justifie qu’il ait été fait Commandeur de l’ordre national, Officier de l’ordre national et Officier de l’ordre du mérite sportif ? Rien que du copinage et de la complaisance pour ce rat des palais présidentiels. C’est connu, sous Laurent Gbagbo, il mangeait à midi à la table de Nady Bamba et la nuit à la table de Simone Gbagbo, deux dames qui se détestaient pourtant à mort. Quelle prouesse !
Qui Ben Soumahoro a-t-il déjà aidé dans ce pays ? Nous ouvrons les colonnes de l’Expression à toute personne capable d’apporter un témoignage d’un acte de bonté de l’ancien député de Bako. On ne retient de ce monsieur que sa grande gueule. En la matière, il est imbattable !
De même, il est imbattable dans l’art de lécher les bottes de celui lui donne à manger.
Qui ne se souvient de ses propos dithyrambiques à l’endroit d’Alassane Ouattara quand il était parmi « ses serveurs de thé ». Aujourd’hui, il ravale ses vomissures et traite le président de la République et son épouse de tous les noms.
Mais venant de lui, c’est nul et de nul effet.
Avec une facilité déconcertante, il est passé dans le camp de Gbagbo sans aucun scrupule. Ben fait partie de ceux qui ont trompé l’ancien président et l’ont conduit à la Cour pénale internationale . Vivement le temps des comptes. Ses décorations qu’il décide de rendre est une bonne décision vu qu’il avait été décoré par complaisance. C’est le lieu d’ouvrir le grand livre de la grande chancellerie pour extraire les noms de toutes les racailles qui y figurent. Fini le moment où de vils individus non méritants de la nation se faisaient décorer. Au boulot Mme Diabaté !
Traoré M. Ahmed
Ces attaques injustifiées de la part d’un ex-député par défaut, sont révoltantes. Loin de nous toute idée de nous ériger en avocat de la Première dame, mais force est de reconnaitre qu’elle a passé sa vie à aider les femmes et les enfants démunis. Et ne mérite pas, de ce fait, d’être traitée de la sorte par un individu qui est entré dans l’histoire de la Côte d’Ivoire par la fenêtre.
Parvenue au pouvoir, rien n’obligeait Dominique Ouattara à continuer ses actions caritatives en faveur des enfants démunis. Elle n’a pas attendue l’avènement d’Alassane Ouattara au pouvoir pour créer ses entreprises en Afrique, en Europe et en Amérique. Depuis 1999 qu’elle aide les pauvres sur fonds propres, elle ne rasait pas les murs des différents palais présidentiels pour récolter les strapontins. D’ailleurs, le 24 février, elle organise au palais des congres de l’Hôtel Ivoire, un gala en vue de récolter des fonds pour offrir un hôpital aux enfants et aux femmes à Bingerville. Ça, c’est de l’utilitaire et du concret. Elle ne plonge pas la main dans les caisses de l’Etat pour mener les activités de son Ong.
Mais à contrario, qu’est-ce que Ben Soumahoro a posé comme acte dans ce pays qui pourrait être brandi comme son œuvre, à part la courtisanerie. Qu’a-t-il fait de mémorable au plan national et qui justifie qu’il ait été fait Commandeur de l’ordre national, Officier de l’ordre national et Officier de l’ordre du mérite sportif ? Rien que du copinage et de la complaisance pour ce rat des palais présidentiels. C’est connu, sous Laurent Gbagbo, il mangeait à midi à la table de Nady Bamba et la nuit à la table de Simone Gbagbo, deux dames qui se détestaient pourtant à mort. Quelle prouesse !
Qui Ben Soumahoro a-t-il déjà aidé dans ce pays ? Nous ouvrons les colonnes de l’Expression à toute personne capable d’apporter un témoignage d’un acte de bonté de l’ancien député de Bako. On ne retient de ce monsieur que sa grande gueule. En la matière, il est imbattable !
De même, il est imbattable dans l’art de lécher les bottes de celui lui donne à manger.
Qui ne se souvient de ses propos dithyrambiques à l’endroit d’Alassane Ouattara quand il était parmi « ses serveurs de thé ». Aujourd’hui, il ravale ses vomissures et traite le président de la République et son épouse de tous les noms.
Mais venant de lui, c’est nul et de nul effet.
Avec une facilité déconcertante, il est passé dans le camp de Gbagbo sans aucun scrupule. Ben fait partie de ceux qui ont trompé l’ancien président et l’ont conduit à la Cour pénale internationale . Vivement le temps des comptes. Ses décorations qu’il décide de rendre est une bonne décision vu qu’il avait été décoré par complaisance. C’est le lieu d’ouvrir le grand livre de la grande chancellerie pour extraire les noms de toutes les racailles qui y figurent. Fini le moment où de vils individus non méritants de la nation se faisaient décorer. Au boulot Mme Diabaté !
Traoré M. Ahmed