En marge du conseil de gouvernement qui s’est déroulé hier mardi 7 février 2012, le Premier ministre Guillaume Soro s’est ouvert à la presse. Il en ressort que le conseil des ministres se tiendra ce jeudi. Au passage, il a répondu aux rumeurs qui courent sur son compte.
«Messieurs les journalistes, d’habitude vous ne venez pas au conseil de gouvernement !
N’est ce pas ? Qu’est-ce qui se passe ?». C’est par cette formule que le Premier ministre a abordé la série des questions que les journalistes attendaient de lui poser pour éclairer l’opinion nationale et internationale sur bien des sujets. Passé ce moment qui a mis tout le monde à l’aise, il a donné l’ordre de jour de ce conseil de gouvernement qui intervient au moment où le Président de la République regagnait Abidjan. «Ecoutez, c’est dans l’ordre normal des choses. Un gouvernement a vocation de plancher sur les sujets d’importance qui touchent au quotidien des citoyens. Donc nous avons eu un ordre du jour normal du conseil de gouvernement. Nous avons depuis dix(10) heures commencé à travailler sur plusieurs dossiers et en même temps, le conseil de gouvernement sert et permet à préparer le conseil des ministres. Qui se tiendra non pas mercredi mais jeudi compte tenu du fait que nous avons un agenda chargé. Aujourd’hui donc nous rencontrons les administrateurs de la Banque Mondiale, le conseil des ministres se tiendra plutôt jeudi à 9 heures au Palais de la présidence», a-t-il déclaré. S’agissant des dossiers abordés au cours de ce conseil, le chef du gouvernement a souligné qu’il s’agissait des questions relatives à «la question de l’accouchement par césarienne». Outre ce «dossier qui a été adopté», le ministre d’Etat, ministre de la Justice a présenté un dossier sur les commissaires priseurs et bien d’autres questions d’importance ont été abordées. Actualité oblige, le premier Ministre s’est prononcé sur les rumeurs relatives à son arrestation par la CPI : «Heureusement que ce n’est pas votre souhait, je suis là. Sinon si j’étais à la CPI, je serais le seul et le premier prisonnier de la CPI qui soit revenu en Côte d’Ivoire. Donc c’est une bonne chose. Non, non, les rumeurs, je pense qu’il faut laisser les rumeurs, mourir de leurs propres poisons».
K. Hyacinthe
«Messieurs les journalistes, d’habitude vous ne venez pas au conseil de gouvernement !
N’est ce pas ? Qu’est-ce qui se passe ?». C’est par cette formule que le Premier ministre a abordé la série des questions que les journalistes attendaient de lui poser pour éclairer l’opinion nationale et internationale sur bien des sujets. Passé ce moment qui a mis tout le monde à l’aise, il a donné l’ordre de jour de ce conseil de gouvernement qui intervient au moment où le Président de la République regagnait Abidjan. «Ecoutez, c’est dans l’ordre normal des choses. Un gouvernement a vocation de plancher sur les sujets d’importance qui touchent au quotidien des citoyens. Donc nous avons eu un ordre du jour normal du conseil de gouvernement. Nous avons depuis dix(10) heures commencé à travailler sur plusieurs dossiers et en même temps, le conseil de gouvernement sert et permet à préparer le conseil des ministres. Qui se tiendra non pas mercredi mais jeudi compte tenu du fait que nous avons un agenda chargé. Aujourd’hui donc nous rencontrons les administrateurs de la Banque Mondiale, le conseil des ministres se tiendra plutôt jeudi à 9 heures au Palais de la présidence», a-t-il déclaré. S’agissant des dossiers abordés au cours de ce conseil, le chef du gouvernement a souligné qu’il s’agissait des questions relatives à «la question de l’accouchement par césarienne». Outre ce «dossier qui a été adopté», le ministre d’Etat, ministre de la Justice a présenté un dossier sur les commissaires priseurs et bien d’autres questions d’importance ont été abordées. Actualité oblige, le premier Ministre s’est prononcé sur les rumeurs relatives à son arrestation par la CPI : «Heureusement que ce n’est pas votre souhait, je suis là. Sinon si j’étais à la CPI, je serais le seul et le premier prisonnier de la CPI qui soit revenu en Côte d’Ivoire. Donc c’est une bonne chose. Non, non, les rumeurs, je pense qu’il faut laisser les rumeurs, mourir de leurs propres poisons».
K. Hyacinthe