«J’ai sermonné les jeunes gens. Le secrétaire général de préfecture est témoin, le capitaine Alani est témoin, le commandant de brigade est témoin. Je n’ai nullement approuvé leur acte et je leur ai dit ce que vous venez de dire, M. le ministre. Nul n’est censé se rendre justice soi-même. Vous êtes nos autorités, si l’on vous offense, c’est vous qui devez prendre le dessus, puisque vous êtes en armes. Nos enfants ne savent pas ce qu’ils font et c’est ce que les FRCI devaient se dire. Ils sont venus m’enlever avant de m’arrêter comme un vulgaire bandit. Ils étaient au nombre de trois, même le FRCI que j’ai protégé était derrière les jeunes Dioula qui tiraient (…) Il faut que les FRCI que vous allez envoyer ici soient vraiment impartiales».
Politique Publié le jeudi 16 février 2012 | L’intelligent d’Abidjan