Avant es joutes électorales du 26 février prochain, relatives à la tenue des élections législatives partielles, des candidats ont saisi la CEI par courrier pour manifester leur retrait de la course.
Déstabilisation de la Côte d’Ivoire
Des mercenaires et miliciens s’entraînent à Yopougon et Port-Bouët
L’information est de taille. Des mercenaires libériens et des miliciens s’organisent dans la capitale économique, Abidjan et dans certaines villes du Sud du pays, pour semer des troubles en Côte d’Ivoire. Selon nos sources, entretenus et encouragés par des partisans de l’ancien président Laurent Gbagbo qui sont soit au pays, soit en exil, les mercenaires et les miliciens ont choisi des sites d’entraînement dans certains quartiers du district d’Abidjan, notamment Yopougon et Port-Bouet et des forêts à l’intérieur du pays. A Abidjan, ils usent de subterfuges, précisent nos sources, pour tromper la vigilance des autorités militaires. A Port-Bouet, les ennemis de la Côte d’Ivoire prennent les footings comme prétextes pour se retrouver à leur lieu d’entraînement en bordure de la mer. Pendant que ceux de Yopougon attendent carrément la nuit pour se réunir également au bord de la mer à Niangon pour préparer leur funeste plan d’attaque. C’est autour de 3 heures du matin, souligne notre source, qu’ils se regroupent et se forment à la guerre. Comme s’ils n’avaient pas tiré de leçons de la douloureuse crise postélectorale qui a fait officiellement 3000 morts, les pro-Gbagbo manœuvrent pour une fois de plus plonger la Côte d’Ivoire dans la violence et la barbarie. Depuis l’exil, certains cadre LMP vendent des rêveries à leurs militants et les poussent à la révolte et à la violence. Sur place d’autres sont chargés d’encadrer les miliciens et mercenaires. Cependant, l’armée ivoirienne et les autorités en charge de la défense du pays veillent au grain. En effet, le conseiller spécial du Premier ministre chargé des ONG et des syndicats, Sékongo Félicien qui était ce week-end face à la coalition des jeunes de l’opposition pour le lancement officiel du dialogue politique entre le pouvoir et l’opposition, a levé un coin du voile sur cette menace qui plane sur la stabilité de la Côte d’Ivoire. «Des mercenaires libériens qui sont venus se battre en Côte d’Ivoire lors de la crise postélectorale ne sont pas tous retournés. Ils sont là et manigancent des choses. Nous sommes au courant des leurs actions. Je vous dis, ceux qui vous poussent à la guerre ne sont jamais au front. La preuve, ceux qui ont armé les jeunes ivoiriens qui étaient dans les milices, étaient les premiers à partir d’Abidjan quand les armes ont commencé à tonner. Il faut que les jeunes soient responsables. Liez vos destins à celui de la Côte d’Ivoire et non à des individus. Ils vous poussent à la guerre et ils ne sont jamais au front de bataille. Nous nous sommes décidés à combattre avec la dernière énergie tous ceux qui voudront semer des troubles dans le pays», a averti le collaborateur du Premier ministre. Avant de conseiller à la jeunesse de l’opposition menée par Isidore Gauze de quitter la scène de la défiance, de la violence, des invectives… pour s’inscrire dans le dialogue et la réconciliation, tout en étant opposés au pouvoir, afin de prendre une part active dans l’écriture de la nouvelle page de la Côte d’Ivoire, ouverte depuis le 11 avril 2011.
Lacina Ouattara
Déstabilisation de la Côte d’Ivoire
Des mercenaires et miliciens s’entraînent à Yopougon et Port-Bouët
L’information est de taille. Des mercenaires libériens et des miliciens s’organisent dans la capitale économique, Abidjan et dans certaines villes du Sud du pays, pour semer des troubles en Côte d’Ivoire. Selon nos sources, entretenus et encouragés par des partisans de l’ancien président Laurent Gbagbo qui sont soit au pays, soit en exil, les mercenaires et les miliciens ont choisi des sites d’entraînement dans certains quartiers du district d’Abidjan, notamment Yopougon et Port-Bouet et des forêts à l’intérieur du pays. A Abidjan, ils usent de subterfuges, précisent nos sources, pour tromper la vigilance des autorités militaires. A Port-Bouet, les ennemis de la Côte d’Ivoire prennent les footings comme prétextes pour se retrouver à leur lieu d’entraînement en bordure de la mer. Pendant que ceux de Yopougon attendent carrément la nuit pour se réunir également au bord de la mer à Niangon pour préparer leur funeste plan d’attaque. C’est autour de 3 heures du matin, souligne notre source, qu’ils se regroupent et se forment à la guerre. Comme s’ils n’avaient pas tiré de leçons de la douloureuse crise postélectorale qui a fait officiellement 3000 morts, les pro-Gbagbo manœuvrent pour une fois de plus plonger la Côte d’Ivoire dans la violence et la barbarie. Depuis l’exil, certains cadre LMP vendent des rêveries à leurs militants et les poussent à la révolte et à la violence. Sur place d’autres sont chargés d’encadrer les miliciens et mercenaires. Cependant, l’armée ivoirienne et les autorités en charge de la défense du pays veillent au grain. En effet, le conseiller spécial du Premier ministre chargé des ONG et des syndicats, Sékongo Félicien qui était ce week-end face à la coalition des jeunes de l’opposition pour le lancement officiel du dialogue politique entre le pouvoir et l’opposition, a levé un coin du voile sur cette menace qui plane sur la stabilité de la Côte d’Ivoire. «Des mercenaires libériens qui sont venus se battre en Côte d’Ivoire lors de la crise postélectorale ne sont pas tous retournés. Ils sont là et manigancent des choses. Nous sommes au courant des leurs actions. Je vous dis, ceux qui vous poussent à la guerre ne sont jamais au front. La preuve, ceux qui ont armé les jeunes ivoiriens qui étaient dans les milices, étaient les premiers à partir d’Abidjan quand les armes ont commencé à tonner. Il faut que les jeunes soient responsables. Liez vos destins à celui de la Côte d’Ivoire et non à des individus. Ils vous poussent à la guerre et ils ne sont jamais au front de bataille. Nous nous sommes décidés à combattre avec la dernière énergie tous ceux qui voudront semer des troubles dans le pays», a averti le collaborateur du Premier ministre. Avant de conseiller à la jeunesse de l’opposition menée par Isidore Gauze de quitter la scène de la défiance, de la violence, des invectives… pour s’inscrire dans le dialogue et la réconciliation, tout en étant opposés au pouvoir, afin de prendre une part active dans l’écriture de la nouvelle page de la Côte d’Ivoire, ouverte depuis le 11 avril 2011.
Lacina Ouattara