Le président de la République a regagné Abidjan le samedi 18 février 2012 après une mission au Nigeria et à Cotonou où il a participé respectivement à la 40 ème session ordinaire de la Cedeao et au mini-sommet de l’Union africaine (UA) .
C’est sous le coup de 17 h que le chef de l’Etat ivoirien est arrivé à l’aéroport international Félix Houphouët-Boigny de Port-Bouët. SEM Alassane Ouattara a été accueilli à sa descente d’avion par le premier ministre Guillaume Soro, les présidents d’Institutions et les membres du gouvernement. Se confiant à la presse au salon d’honneur, le chef de l’exécutif ivoirien élu président en exercice de la Cedeao, dit placer son mandat sous le signe de la rigueur dans le travail pour la résolution des problèmes comme celui de Boko Haram au Nigeria et la rébellion touareg au Mali. «C’est une question de volonté politique. Nous devons faire en sorte que notre communauté, qui est déjà une des meilleures au plan du fonctionnement, au plan des objectifs et tout ce que nous avons fait ces dernières années, puisse aller de l’avant. Mon intention c’est d’appuyer la mise en œuvre des différents programmes au sein de la Cedeao.
Parmi ces programmes, il y a des aspects économiques et financiers. Il ne faudrait pas l’ignorer, nous avons de larges sommes qui sont disponibles au niveau de l’Union européenne, de la Chine qu’il faudra décaisser pour travailler sur les infrastructures, qu’elles soient routières ou ferroviaires. Il y a également des questions importantes à débattre dans le domaine de l’énergie». Le chef de l’Etat, s’est engagé à faire que les ministres des pays membres se réunissent régulièrement pour faire avancer le dossier. «Que les ambassadeurs fassent un travail préparatoire ensuite les ministres se réunissent. C’est après tout cela que les chefs d’Etat peuvent se réunir pour prendre des décisions, afin que nous fassions comme en Europe». En ce qui concerne le mini-sommet de l’UA, Alassane Ouattara a indiqué qu’il s’agissait pour lui et ses pairs de trouver des mécanismes adéquats, afin que l’élection du président de la Commission de l’UA ne souffre plus d’ambigüité.
Touré Abdoulaye
C’est sous le coup de 17 h que le chef de l’Etat ivoirien est arrivé à l’aéroport international Félix Houphouët-Boigny de Port-Bouët. SEM Alassane Ouattara a été accueilli à sa descente d’avion par le premier ministre Guillaume Soro, les présidents d’Institutions et les membres du gouvernement. Se confiant à la presse au salon d’honneur, le chef de l’exécutif ivoirien élu président en exercice de la Cedeao, dit placer son mandat sous le signe de la rigueur dans le travail pour la résolution des problèmes comme celui de Boko Haram au Nigeria et la rébellion touareg au Mali. «C’est une question de volonté politique. Nous devons faire en sorte que notre communauté, qui est déjà une des meilleures au plan du fonctionnement, au plan des objectifs et tout ce que nous avons fait ces dernières années, puisse aller de l’avant. Mon intention c’est d’appuyer la mise en œuvre des différents programmes au sein de la Cedeao.
Parmi ces programmes, il y a des aspects économiques et financiers. Il ne faudrait pas l’ignorer, nous avons de larges sommes qui sont disponibles au niveau de l’Union européenne, de la Chine qu’il faudra décaisser pour travailler sur les infrastructures, qu’elles soient routières ou ferroviaires. Il y a également des questions importantes à débattre dans le domaine de l’énergie». Le chef de l’Etat, s’est engagé à faire que les ministres des pays membres se réunissent régulièrement pour faire avancer le dossier. «Que les ambassadeurs fassent un travail préparatoire ensuite les ministres se réunissent. C’est après tout cela que les chefs d’Etat peuvent se réunir pour prendre des décisions, afin que nous fassions comme en Europe». En ce qui concerne le mini-sommet de l’UA, Alassane Ouattara a indiqué qu’il s’agissait pour lui et ses pairs de trouver des mécanismes adéquats, afin que l’élection du président de la Commission de l’UA ne souffre plus d’ambigüité.
Touré Abdoulaye