Jour férié pour les élèves
Avec l’arrivée d’Alassane Ouattara, il n’y a pas eu cours pour les élèves hier à Bouaké. La journée du jeudi a été pour eux jour férié. En tenue scolaire kaki et bleu blanc, ils sont fortement mobilisés très tôt le matin sur tout le tronçon du trajet venant de la ville à l’usine Olam.
Wattao, Chérif et Zackaria étaient là
Les cdts Wattao, Chérif Ousmane respectivement commandant en second de la Garde républicaine et du Groupe de sécurité présidentiel, et Zakaria Koné le patron de la police militaire ont coordonné la sécurité.
Sécurité renforcée
Sur l’itinéraire du cortège présidentiel, à chaque carrefour, il y avait un déploiement massif des Forces républicaines. A l’entrée principale de l’usine et à l’entrée de la salle de la cérémonie, une fouille minutieuse a été menée par les services de sécurité de la présidence avant l’entrée du président de la République. Un hélicoptère a survolé le cortège jusqu’à l’usine d’Olam.
Les invités reçus sous un chapiteau
La cérémonie s’est déroulée sous un grand chapiteau dressé pour recevoir les invités. Avec à l’intérieur deux écrans géants. Les chefs traditionnels, les chefs de service et les autorités locales ainsi que plusieurs personnalités étaient présents.
Alassane Ouattara : ‘‘Bouaké me manquait, je reviendrai’’
Avant la cérémonie de coupure de ruban, le chef de l’Etat a dit quelques mots à la presse.
"Je viens rendre hommage à tous nos parents paysans qui font donc l’activité de cajou. Aujourd’hui, grâce au ministre Moussa Dosso, nous avons la grande joie de 30 tonnes de production de noix de cajou. C’est la plus grande structure moderne qui va employer 2400 personnes en matière de création d’emploi et de réduction du chômage. C’est un point important. L’industrialisation est pour moi une priorité parce que la Côte d’Ivoire est d’abord un pays agricole, mais il faut qu’on aille au-delà. Que nous soyons en mesure d’industrialiser nos produits, de les traiter de manière à avoir de la valeur ajoutée. Surtout aussi d’augmenter l’emploi. La création d’emplois pour les jeunes, pour les femmes, des emplois pour la population. Je voudrais féliciter le président du groupe Olam pour cette belle réalisation. Nous l’encourageons à poursuivre ces genres d’initiatives. Il nous a promis qu’il ferait une usine similaire à Korhogo et à Bondoukou. Bouaké me manquait. Mais je reviendrai pour un séjour plus prolongé".
Propos recueillis par Denis Koné
Avec l’arrivée d’Alassane Ouattara, il n’y a pas eu cours pour les élèves hier à Bouaké. La journée du jeudi a été pour eux jour férié. En tenue scolaire kaki et bleu blanc, ils sont fortement mobilisés très tôt le matin sur tout le tronçon du trajet venant de la ville à l’usine Olam.
Wattao, Chérif et Zackaria étaient là
Les cdts Wattao, Chérif Ousmane respectivement commandant en second de la Garde républicaine et du Groupe de sécurité présidentiel, et Zakaria Koné le patron de la police militaire ont coordonné la sécurité.
Sécurité renforcée
Sur l’itinéraire du cortège présidentiel, à chaque carrefour, il y avait un déploiement massif des Forces républicaines. A l’entrée principale de l’usine et à l’entrée de la salle de la cérémonie, une fouille minutieuse a été menée par les services de sécurité de la présidence avant l’entrée du président de la République. Un hélicoptère a survolé le cortège jusqu’à l’usine d’Olam.
Les invités reçus sous un chapiteau
La cérémonie s’est déroulée sous un grand chapiteau dressé pour recevoir les invités. Avec à l’intérieur deux écrans géants. Les chefs traditionnels, les chefs de service et les autorités locales ainsi que plusieurs personnalités étaient présents.
Alassane Ouattara : ‘‘Bouaké me manquait, je reviendrai’’
Avant la cérémonie de coupure de ruban, le chef de l’Etat a dit quelques mots à la presse.
"Je viens rendre hommage à tous nos parents paysans qui font donc l’activité de cajou. Aujourd’hui, grâce au ministre Moussa Dosso, nous avons la grande joie de 30 tonnes de production de noix de cajou. C’est la plus grande structure moderne qui va employer 2400 personnes en matière de création d’emploi et de réduction du chômage. C’est un point important. L’industrialisation est pour moi une priorité parce que la Côte d’Ivoire est d’abord un pays agricole, mais il faut qu’on aille au-delà. Que nous soyons en mesure d’industrialiser nos produits, de les traiter de manière à avoir de la valeur ajoutée. Surtout aussi d’augmenter l’emploi. La création d’emplois pour les jeunes, pour les femmes, des emplois pour la population. Je voudrais féliciter le président du groupe Olam pour cette belle réalisation. Nous l’encourageons à poursuivre ces genres d’initiatives. Il nous a promis qu’il ferait une usine similaire à Korhogo et à Bondoukou. Bouaké me manquait. Mais je reviendrai pour un séjour plus prolongé".
Propos recueillis par Denis Koné