Deux listes seront aux prises lors des législatives partielles du dimanche 26 février 2012 dans la circonscription électorale de Bonon, Zaguiéta commune et sous-préfecture. Il s’agit de la liste du Rassemblement des républicains (Rdr) conduite par Yacouba Koné et une liste indépendante. Le candidat des républicains affiche une grande sérénité et se dit confiant pour la victoire.
Dans quel état d’esprit êtes-vous au moment où la campagne électorale prend fin ?
Nous sommes sereins et très confiants. Il ne peut en être autrement. Je suis le porte-flambeau du parti du Dr Alassane Ouattara, président de la République qui est très attaché à Bonon. Le passage du secrétaire général par intérim du parti, Amadou Soumahoro à Bonon malgré que le parti soit déjà majoritaire, est la preuve que le Rdr et son président tiennent à Bonon. Je me réjouis aussi de la détermination de nos militants prêts à reconfirmer leur victoire du 11 décembre dernier. Pour démontrer à la communauté nationale et internationale que cette victoire n’était nullement usurpée et ne souffrait d’aucune ambiguïté.
Comment avez-vous accueilli les ralliements de la liste officielle du Pdci-Rda et des deux autres listes indépendantes à votre cause ?
Je ne pouvais qu’être heureux. Mais sachez que c’est le fruit du travail qu’abattent les présidents Henri Konan Bédié et Alassane Ouattara à la tête du Rassemblement des houphouétistes pour la démocratie et la paix (Rhdp). Ces deux présidents ont toujours dit de combattre les indépendants. C’est en respectant ce mot d’ordre que le candidat du Pdci s’est rallié au Rdr qui est le seul parti en course. Le Pdci, le Mfa, l’Udpci et les Forces nouvelles n’ont pas de candidats. Il ne reste que le Rdr, dont le candidat devient automatiquement celui du Rhdp. Quoi de plus normal de me soutenir. Aussi, les listes indépendantes qui se sont retirées, sont proches de nous et ont jugé bon de ne pas diviser notre électorat. Voilà encore une autre raison de ma sérénité. Et ce n’est pas tout. J’ai bénéficié durant toute la campagne du soutien et la solidarité très remarqués et importants du parti, avec le passage du Sg par intérim et de la ministre Jeanne Pouhemond. A cela, il faut ajouter ceux des nombreux élus de la Marahoué, du Fromager et du Haut-Sassandra. C’est la preuve que je n’étais pas isolé.
J’ai très vite compris que je vais à un combat pour le Rdr, un parti qui n’aime pas perdre.
Alors, il nous revient de confirmer notre victoire du 11 décembre 2011.
Est-ce qu’il y a eu un changement dans vos messages de campagne, contrairement à ceux des élections du 11 décembre 2011 ?
Il n’y a eu aucun changement. Nous avons réexpliqué que nous nous engageons à être leur messager à l’assemblée nationale pour défendre leurs intérêts. Aussi la réconciliation prônée par le chef de l’Etat a été au centre de notre campagne pour que, dans l’union, et le vivre ensemble, Bonon puisse être avec tous ses fils dans le train du développement conduit par Alassane Ouattara.
Entretien réalisé par Bayo Fatim, envoyé spécial à Bonon
Dans quel état d’esprit êtes-vous au moment où la campagne électorale prend fin ?
Nous sommes sereins et très confiants. Il ne peut en être autrement. Je suis le porte-flambeau du parti du Dr Alassane Ouattara, président de la République qui est très attaché à Bonon. Le passage du secrétaire général par intérim du parti, Amadou Soumahoro à Bonon malgré que le parti soit déjà majoritaire, est la preuve que le Rdr et son président tiennent à Bonon. Je me réjouis aussi de la détermination de nos militants prêts à reconfirmer leur victoire du 11 décembre dernier. Pour démontrer à la communauté nationale et internationale que cette victoire n’était nullement usurpée et ne souffrait d’aucune ambiguïté.
Comment avez-vous accueilli les ralliements de la liste officielle du Pdci-Rda et des deux autres listes indépendantes à votre cause ?
Je ne pouvais qu’être heureux. Mais sachez que c’est le fruit du travail qu’abattent les présidents Henri Konan Bédié et Alassane Ouattara à la tête du Rassemblement des houphouétistes pour la démocratie et la paix (Rhdp). Ces deux présidents ont toujours dit de combattre les indépendants. C’est en respectant ce mot d’ordre que le candidat du Pdci s’est rallié au Rdr qui est le seul parti en course. Le Pdci, le Mfa, l’Udpci et les Forces nouvelles n’ont pas de candidats. Il ne reste que le Rdr, dont le candidat devient automatiquement celui du Rhdp. Quoi de plus normal de me soutenir. Aussi, les listes indépendantes qui se sont retirées, sont proches de nous et ont jugé bon de ne pas diviser notre électorat. Voilà encore une autre raison de ma sérénité. Et ce n’est pas tout. J’ai bénéficié durant toute la campagne du soutien et la solidarité très remarqués et importants du parti, avec le passage du Sg par intérim et de la ministre Jeanne Pouhemond. A cela, il faut ajouter ceux des nombreux élus de la Marahoué, du Fromager et du Haut-Sassandra. C’est la preuve que je n’étais pas isolé.
J’ai très vite compris que je vais à un combat pour le Rdr, un parti qui n’aime pas perdre.
Alors, il nous revient de confirmer notre victoire du 11 décembre 2011.
Est-ce qu’il y a eu un changement dans vos messages de campagne, contrairement à ceux des élections du 11 décembre 2011 ?
Il n’y a eu aucun changement. Nous avons réexpliqué que nous nous engageons à être leur messager à l’assemblée nationale pour défendre leurs intérêts. Aussi la réconciliation prônée par le chef de l’Etat a été au centre de notre campagne pour que, dans l’union, et le vivre ensemble, Bonon puisse être avec tous ses fils dans le train du développement conduit par Alassane Ouattara.
Entretien réalisé par Bayo Fatim, envoyé spécial à Bonon