Il n’y avait pas foule, hier dans les bureaux de vote à la faveur des partielles. A l’instar des législatives du 11 décembre dernier. Une autre gifle au pouvoir Ouattara.
Comme il fallait s’y attendre, les législatives partielles dans les douze circonscriptions du pays n’ont pas encore attiré du grand monde, hier. Selon une dépêche de l’Agence ivoirienne de presse (AIP), seulement 20 % des populations s’était rendue aux urnes dans la mi-journée à Agboville. Où le président de la Commission électorale indépendante (CEI), Youssouf Bakayoko avait effectué lui-même le déplacement. Et ce chiffre ne semblait pas s’accroître outre mesure, les populations ne se bousculant pas. Du moins, elles se présentaient aux différents bureaux de vote au compte-gouttes. Ailleurs, dans les autres circonscriptions du pays où le scrutin a été invalidé par le Conseil constitutionnel pour « graves irrégularités », ce que le confrère France 24 avait qualifié de « désert électoral » s’est tout simplement répété. Les électeurs ayant boudé le scrutin cher à Alassane Ouattara. En tout cas, rapporte notre confrère AIP, le constat de la faible affluence dans les bureaux de vote était visible partout. Notamment à Grand-Lahou (sud, région des Grands-Ponts), Duékoué (ouest, région du Guémon), Bouna (nord-est, région du Bounkani), Biankouma (ouest, région du Tonpki), Fresco (sud, région du Gbôklé), Agboville (sud, Agnéby-Tiassa), Bonon (centre-ouest, région de la Marahoué), Dikodougou (nord, région du Poro), Tabou (sud-ouest, région de San-Pedro), Facobly et Kouibly (ouest, région du Guémon). Mais aussi et surtout à Logoualé (ouest, région du Guémon), où les électeurs prennent part pour la première fois à ces élections législatives. Cette circonscription ayant été exemptée lors du scrutin du 11 décembre 2011, en raison du décès d’un des candidats (ndlr : le candidat RDR) durant la campagne. Les ministres Kaba Nialé de la promotion du logement et Alain Lobognon de la promotion de la jeunesse sont sous pression. Qui sauvera son fauteuil ? Attendons de voir.
José S. Koudou
Comme il fallait s’y attendre, les législatives partielles dans les douze circonscriptions du pays n’ont pas encore attiré du grand monde, hier. Selon une dépêche de l’Agence ivoirienne de presse (AIP), seulement 20 % des populations s’était rendue aux urnes dans la mi-journée à Agboville. Où le président de la Commission électorale indépendante (CEI), Youssouf Bakayoko avait effectué lui-même le déplacement. Et ce chiffre ne semblait pas s’accroître outre mesure, les populations ne se bousculant pas. Du moins, elles se présentaient aux différents bureaux de vote au compte-gouttes. Ailleurs, dans les autres circonscriptions du pays où le scrutin a été invalidé par le Conseil constitutionnel pour « graves irrégularités », ce que le confrère France 24 avait qualifié de « désert électoral » s’est tout simplement répété. Les électeurs ayant boudé le scrutin cher à Alassane Ouattara. En tout cas, rapporte notre confrère AIP, le constat de la faible affluence dans les bureaux de vote était visible partout. Notamment à Grand-Lahou (sud, région des Grands-Ponts), Duékoué (ouest, région du Guémon), Bouna (nord-est, région du Bounkani), Biankouma (ouest, région du Tonpki), Fresco (sud, région du Gbôklé), Agboville (sud, Agnéby-Tiassa), Bonon (centre-ouest, région de la Marahoué), Dikodougou (nord, région du Poro), Tabou (sud-ouest, région de San-Pedro), Facobly et Kouibly (ouest, région du Guémon). Mais aussi et surtout à Logoualé (ouest, région du Guémon), où les électeurs prennent part pour la première fois à ces élections législatives. Cette circonscription ayant été exemptée lors du scrutin du 11 décembre 2011, en raison du décès d’un des candidats (ndlr : le candidat RDR) durant la campagne. Les ministres Kaba Nialé de la promotion du logement et Alain Lobognon de la promotion de la jeunesse sont sous pression. Qui sauvera son fauteuil ? Attendons de voir.
José S. Koudou