Les femmes du Parti démocratique de Côte d’Ivoire (Pdci) du Zanzan ont balayé du revers de la main des allégations faisant état de ce que le président du Conseil général de Tanda, Kobenan Kouassi Adjoumani, aurait été responsable de détournement de deniers publics. Par la voix de leur porte-parole, Mme Salamata Soumahoro, elles ont condamné ce ‘‘complot’’ à travers une déclaration dont nous avons reçu copie le mardi 28 février 2012.
Pour l’Union des femmes du Pdci (Ufpdci) du Zanzan, les accusations de détournement de fonds au Conseil général de Tanda portées contre Adjoumani sont loin d’être anodines. «Elles ont pour seul dessein d’entraver la course d’une âme bien née vers de nouveaux horizons. Il s’agit pour ces détracteurs de tout acabit de compromettre à tout prix la reconduction du digne fils de Gontougo au Gouvernement, tout en entravant sa marche irréversible vers le fauteuil du Conseil régional (…) L’essentiel étant de retourner les siens contre lui et mettre durablement à mal sa carrière politique, à défaut de la compromettre définitivement. Mais il en faudra un peu plus pour terrasser le taureau d’envergure qu’il est», a prévenu Mme Salamata Soumahoro qui a invité les détracteurs du président du Conseil général de Tanda «dont le seul mérite est la primeur de leurs intentions de candidature» à privilégier l’intérêt général à l’intérêt personnel. En tout état de cause, l’Ufpdci du Zanzan se dit déterminée à œuvrer pour la réélection du ministre des Ressources animales et halieutiques à la tête du Conseil général de Tanda. «C’est donc en femmes avisées qu’humblement nous réclamons la candidature du Ministre Adjoumani – que nous considérons déjà acquise – à la course à la présidence du Conseil régional de Gontougo. Cela nous paraît être un impératif de premier ordre autour duquel pourrait s’envisager les tractations pour établir la liste. Pour notre part, notre équipe de campagne déjà constituée se tient prête et n’attend plus que le signal de son mentor pour aller à l’assaut des électeurs. Le dire ce n’est pas s’attaquer à qui que ce soit, c’est simplement faire preuve de réalisme, de saine appréciation de la réalité du moment», a-t-elle laissé entendre.
Touré Abdoulaye
Pour l’Union des femmes du Pdci (Ufpdci) du Zanzan, les accusations de détournement de fonds au Conseil général de Tanda portées contre Adjoumani sont loin d’être anodines. «Elles ont pour seul dessein d’entraver la course d’une âme bien née vers de nouveaux horizons. Il s’agit pour ces détracteurs de tout acabit de compromettre à tout prix la reconduction du digne fils de Gontougo au Gouvernement, tout en entravant sa marche irréversible vers le fauteuil du Conseil régional (…) L’essentiel étant de retourner les siens contre lui et mettre durablement à mal sa carrière politique, à défaut de la compromettre définitivement. Mais il en faudra un peu plus pour terrasser le taureau d’envergure qu’il est», a prévenu Mme Salamata Soumahoro qui a invité les détracteurs du président du Conseil général de Tanda «dont le seul mérite est la primeur de leurs intentions de candidature» à privilégier l’intérêt général à l’intérêt personnel. En tout état de cause, l’Ufpdci du Zanzan se dit déterminée à œuvrer pour la réélection du ministre des Ressources animales et halieutiques à la tête du Conseil général de Tanda. «C’est donc en femmes avisées qu’humblement nous réclamons la candidature du Ministre Adjoumani – que nous considérons déjà acquise – à la course à la présidence du Conseil régional de Gontougo. Cela nous paraît être un impératif de premier ordre autour duquel pourrait s’envisager les tractations pour établir la liste. Pour notre part, notre équipe de campagne déjà constituée se tient prête et n’attend plus que le signal de son mentor pour aller à l’assaut des électeurs. Le dire ce n’est pas s’attaquer à qui que ce soit, c’est simplement faire preuve de réalisme, de saine appréciation de la réalité du moment», a-t-elle laissé entendre.
Touré Abdoulaye
