Sale temps pour Mlle K.A.N et sa sœur, en cette nuit du mercredi 29 février à jeudi 1er mars 2012. Ces deux jeunes filles ont été sauvagement brutalisées, violées et volées aux environs de 4 h du matin au quartier Konankro, carrefour mauritanien. En pleurs, la plus jeune, revenue du commissariat où elle était allée porter plainte contre leurs agresseurs, les yeux embués, nous raconte leur mésaventure.
"C'est aux environs de 4 h du matin que trois (03) individus ont fait irruption dans notre chambre, nous menaçant avec des armes blanches. Donnez-nous ce que vous avez. Si vous criez, vous êtes mortes, nous ont-ils crié dessus avant de nous donner de violents coups de machettes. Ils ont fouillé notre chambre de fond en comble et ont emporté la somme que nous évaluons à 62.500fr. Après quoi, ils nous ont violées toutes les deux avant de prendre la fuite". Nous a-t-elle confessé en pleurs. C'est le lieu de signaler que depuis un certain temps, les populations de la cité du Djiboua ont le sommeil trouble à cause des visites nocturnes des malfrats et autres malfaiteurs. Les autorités politiques, administratives et militaires doivent trouver des solutions idoines pour sécuriser cette population qui sort d'un traumatisme lié à la crise postélectorale.
Gnadoh Dinse
"C'est aux environs de 4 h du matin que trois (03) individus ont fait irruption dans notre chambre, nous menaçant avec des armes blanches. Donnez-nous ce que vous avez. Si vous criez, vous êtes mortes, nous ont-ils crié dessus avant de nous donner de violents coups de machettes. Ils ont fouillé notre chambre de fond en comble et ont emporté la somme que nous évaluons à 62.500fr. Après quoi, ils nous ont violées toutes les deux avant de prendre la fuite". Nous a-t-elle confessé en pleurs. C'est le lieu de signaler que depuis un certain temps, les populations de la cité du Djiboua ont le sommeil trouble à cause des visites nocturnes des malfrats et autres malfaiteurs. Les autorités politiques, administratives et militaires doivent trouver des solutions idoines pour sécuriser cette population qui sort d'un traumatisme lié à la crise postélectorale.
Gnadoh Dinse
