Yamoussoukro - Le président de la Commission nationale de supervision de l’identification (CNSI), Hua Koffi, souhaite la transformation de l’institution en une haute Autorité, pour mieux mener ses missions de l’identification et de la modernisation de l’état civil.
Jeudi, lors de l’ouverture d’un séminaire sur l’identification des populations à Yamoussoukro, M. Hua a souhaité la mutation de la CNSI en une haute Autorité de l’identification et de la modernisation de l’état-civil (HAIMEC), en vue d’une identité claire et cohérente.
Selon Hua Koffi, le défaut d’une identité claire et cohérente, ainsi que l’absence de pièces administratives uniques attestant l’identité et la nationalité des individus constituent une source de conflit.
"Pour jouer pleinement son rôle de veille et d’équité, la CNSI recommande que lui reviennent les prérogatives d’un pouvoir de décisions exécutoires pour qu’elle puisse continuer ses missions dans un autre cadre réglementaire qui serait la haute Autorité de l’identification et de la modernisation de l’état civil, en abrégé HAIMEC", a-t-il argumenté.
Pour lui, cela va permettre à cette structure d’exercer un rôle de régulation, de contrôle et de surveillance sur toutes activités liées à l’identification et à l’état civil ; par leur modernisation ; pour répondre à l’exigence de la bonne gouvernance.
Au nom du ministre de l’Intérieur, le ministre délégué à la Défense, Paul Koffi Koffi, a salué la tenue de ce séminaire qui va permettre la régularisation des personnes ajournées des listes électorales (définitive et grise) ou de la distribution des cartes nationales d’identité (CNI) nouvelles et restantes.
"Aujourd’hui, le problème identitaire n’est pas complètement réglé en Côte d’Ivoire à cause de cette situation", a-t-il fait savoir, soulignant que la CNSI et l’Office national d’identification (ONI) "devront s’asseoir sous l’autorité du gouvernement pour l’exécution de leur mission", même en étant fondues en une seule entité.
Ce séminaire qui se tient sur le thème "Identification des populations : des opérations de sortie de crise à l’identification ordinaire", réunit des membres du ministère de l’Intérieur, des officiers militaires et de la police, des experts des sociétés de l’identification, notamment la CNSI, l’ONI, et des représentants de la Commission électorale indépendante (CEI).
Il s’achèvera jeudi, indique-t-on.
(AIP)
Zgrp/kp
Jeudi, lors de l’ouverture d’un séminaire sur l’identification des populations à Yamoussoukro, M. Hua a souhaité la mutation de la CNSI en une haute Autorité de l’identification et de la modernisation de l’état-civil (HAIMEC), en vue d’une identité claire et cohérente.
Selon Hua Koffi, le défaut d’une identité claire et cohérente, ainsi que l’absence de pièces administratives uniques attestant l’identité et la nationalité des individus constituent une source de conflit.
"Pour jouer pleinement son rôle de veille et d’équité, la CNSI recommande que lui reviennent les prérogatives d’un pouvoir de décisions exécutoires pour qu’elle puisse continuer ses missions dans un autre cadre réglementaire qui serait la haute Autorité de l’identification et de la modernisation de l’état civil, en abrégé HAIMEC", a-t-il argumenté.
Pour lui, cela va permettre à cette structure d’exercer un rôle de régulation, de contrôle et de surveillance sur toutes activités liées à l’identification et à l’état civil ; par leur modernisation ; pour répondre à l’exigence de la bonne gouvernance.
Au nom du ministre de l’Intérieur, le ministre délégué à la Défense, Paul Koffi Koffi, a salué la tenue de ce séminaire qui va permettre la régularisation des personnes ajournées des listes électorales (définitive et grise) ou de la distribution des cartes nationales d’identité (CNI) nouvelles et restantes.
"Aujourd’hui, le problème identitaire n’est pas complètement réglé en Côte d’Ivoire à cause de cette situation", a-t-il fait savoir, soulignant que la CNSI et l’Office national d’identification (ONI) "devront s’asseoir sous l’autorité du gouvernement pour l’exécution de leur mission", même en étant fondues en une seule entité.
Ce séminaire qui se tient sur le thème "Identification des populations : des opérations de sortie de crise à l’identification ordinaire", réunit des membres du ministère de l’Intérieur, des officiers militaires et de la police, des experts des sociétés de l’identification, notamment la CNSI, l’ONI, et des représentants de la Commission électorale indépendante (CEI).
Il s’achèvera jeudi, indique-t-on.
(AIP)
Zgrp/kp