Lors de la célébration de la journée internationale de la femme, hier, la Première dame de Côte d’Ivoire a, une fois de plus, montré son intérêt pour la cause féminine.
Dominique Ouattara n’a pas failli à sa réputation. Soucieuse de la promotion de la femme et du respect de ses droits, la Première dame de Côte d’Ivoire a honoré de sa présence, hier la cérémonie de célébration de la Journée internationale de la Femme en Côte d’Ivoire à l’espace Crystal à Marcory. Placée sous le thème « Autonomisation des femmes, leur rôle dans le développement agricole et rural et la sécurité alimentaire », la cérémonie a compté d’illustres invités dont le Premier ministre Soro, des femmes du gouvernement, le Nonce apostolique, Ambrose Madta, et Henriette Konan Bédié. Dominique Ouattara a, avec la Grande chancelière, Henriette Diabaté, porté 19 femmes au grade de Chevalier, entre autres le Pr Dosso Mireille, le Pr Edmée Mansilla Abouattier, directrice de cabinet au ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Sangaré Namizata, présidente de l’Organisation des femmes actives de Côte d’Ivoire, Me Lynda Sangaret, le Cl Major Kouamé Akissi et à titre posthume Zamblé Lou Madeleine, morte en 2011. La porte-parole des récipiendaires, Me Lynda Sangaret, a remercié la Première dame et la Grande chancelière pour l’honneur qui leur a été fait. Elle a également rassuré, au nom de ses ’’sœurs’’, qu’elles essayeront d’être à la hauteur des distinctions qui leur ont été faites tout en remerciant leurs familles respectives. Dao Mariam Gabala, présidente des femmes leaders, s’est ensuite penchée sur le rapport des ateliers sectoriels de réflexion qui avaient pour thème « Le bilan de la présence des femmes ivoiriennes dans tous les secteurs d’activités, quelles perspectives pour la jeune femme de demain ? » La présidente des femmes leaders a déploré la régression de l’éducation de la fille et le fait que le code de la femme n’ait pas été actualisé depuis 1960. « La femme peut contribuer à la reconstruction d’une Côte d’Ivoire économique forte si la citoyenneté de la femme est protégée et reconnue. Ce jour est notre jour, et nous envoyons maman Dominique Ouattara en mission pour plaider notre cause auprès de son époux. Nous attendons avec impatience une femme gendarme », a-t-elle souhaité. Le ministre de la Famille, de la Femme et de l’Enfant, Goudou Coffie Raymonde, a, à son tour, insisté sur le rôle primordial de la femme dans la société avant de remercier ses collègues du gouvernement d’être venues la soutenir. La ministre a ensuite remis le livre blanc contenant le bilan des ateliers de réflexion sur la présence des femmes ivoiriennes dans tous les secteurs d’activités au Premier ministre Soro Guillaume, afin qu’il le remette au président de la République. Mais celui-ci a préféré le remettre à la Première dame, car, a-t-il, dit : « Si le livre doit arriver rapidement aux mains du président Ouattara, il n’y a qu’elle qui soit plus habilitée pour le faire », provoquant l’hilarité de l’assistance. Dominique Ouattara a ensuite reçu le trophée de la femme travailleuse des mains de Dr Goudou Raymonde.
Napargalè Marie
Dominique Ouattara n’a pas failli à sa réputation. Soucieuse de la promotion de la femme et du respect de ses droits, la Première dame de Côte d’Ivoire a honoré de sa présence, hier la cérémonie de célébration de la Journée internationale de la Femme en Côte d’Ivoire à l’espace Crystal à Marcory. Placée sous le thème « Autonomisation des femmes, leur rôle dans le développement agricole et rural et la sécurité alimentaire », la cérémonie a compté d’illustres invités dont le Premier ministre Soro, des femmes du gouvernement, le Nonce apostolique, Ambrose Madta, et Henriette Konan Bédié. Dominique Ouattara a, avec la Grande chancelière, Henriette Diabaté, porté 19 femmes au grade de Chevalier, entre autres le Pr Dosso Mireille, le Pr Edmée Mansilla Abouattier, directrice de cabinet au ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Sangaré Namizata, présidente de l’Organisation des femmes actives de Côte d’Ivoire, Me Lynda Sangaret, le Cl Major Kouamé Akissi et à titre posthume Zamblé Lou Madeleine, morte en 2011. La porte-parole des récipiendaires, Me Lynda Sangaret, a remercié la Première dame et la Grande chancelière pour l’honneur qui leur a été fait. Elle a également rassuré, au nom de ses ’’sœurs’’, qu’elles essayeront d’être à la hauteur des distinctions qui leur ont été faites tout en remerciant leurs familles respectives. Dao Mariam Gabala, présidente des femmes leaders, s’est ensuite penchée sur le rapport des ateliers sectoriels de réflexion qui avaient pour thème « Le bilan de la présence des femmes ivoiriennes dans tous les secteurs d’activités, quelles perspectives pour la jeune femme de demain ? » La présidente des femmes leaders a déploré la régression de l’éducation de la fille et le fait que le code de la femme n’ait pas été actualisé depuis 1960. « La femme peut contribuer à la reconstruction d’une Côte d’Ivoire économique forte si la citoyenneté de la femme est protégée et reconnue. Ce jour est notre jour, et nous envoyons maman Dominique Ouattara en mission pour plaider notre cause auprès de son époux. Nous attendons avec impatience une femme gendarme », a-t-elle souhaité. Le ministre de la Famille, de la Femme et de l’Enfant, Goudou Coffie Raymonde, a, à son tour, insisté sur le rôle primordial de la femme dans la société avant de remercier ses collègues du gouvernement d’être venues la soutenir. La ministre a ensuite remis le livre blanc contenant le bilan des ateliers de réflexion sur la présence des femmes ivoiriennes dans tous les secteurs d’activités au Premier ministre Soro Guillaume, afin qu’il le remette au président de la République. Mais celui-ci a préféré le remettre à la Première dame, car, a-t-il, dit : « Si le livre doit arriver rapidement aux mains du président Ouattara, il n’y a qu’elle qui soit plus habilitée pour le faire », provoquant l’hilarité de l’assistance. Dominique Ouattara a ensuite reçu le trophée de la femme travailleuse des mains de Dr Goudou Raymonde.
Napargalè Marie