Membre du Conseil de réglementation des Consultants en Immigration du Canada et du Québec, Africanada est représenté en Côte d’Ivoire depuis 2011. Sur les bords de la lagune Ebrié, Henri Djougoué a animé, le samedi 10 mars 2012, une conférence de presse à la Maison de la Presse au Plateau pour ‘’vendre’’ l’expertise d’Africanada.
«J’aime faire de l’immigration et je suis venu partager ce que j’aime». Tels sont les propos de Henri Djougoué aux prétendants à l’immigration. Il leur a conseillé dans son plaidoyer, de se tourner vers sa structure pour son expertise. Sa philosophie vis-à-vis de ses concurrents est la suivante : «tu n’as pas besoin de descendre quelqu’un pour monter. Si tu es fort, cela se remarquera tout de suite». S’il estime que ses coûts sont relativement bas, cela est le fait, selon lui, qu’il fait du social. Africanada, à en croire Henri Djougoué, Canadien d’origine camerounaise, doit son succès à son sérieux dans le travail. Et de préciser que tout le monde ne peut avoir la chance d’immigrer. C’est pourquoi, argue-t-il, lorsque quelqu’un sollicite les services de sa structure, vu que «c’est un projet de vie», son personnel «prend le temps d’expliquer» les choses. Car pour lui, c’est un investissement qui en vaut la peine. Surtout que l’immigration repose sur une loi au Canada. Aux journalistes, il a fait savoir qu’il ne contribuait pas à la fuite des cerveaux, mais apportait un plus. «La manière occidentale de faire les choses», a-t-il admis. En Côte d’Ivoire, c’est Guillaume Koffi qui préside aux destinées de ce groupe. Qui est un cabinet spécialisé en droit d’immigration avec pour mission de fournir des services de consultation, de conseil et de représentation dans le domaine de l’immigration au Canada. Ses services : permis d’étude, permis de travail, résident permanent. Ses méthodes de travail: l’évaluation préliminaire, la sélection du programme, la préparation du dossier, la gestion du dossier, la préparation de l’entrevue, le programme d’intégration et l’arrivée au Canada. Pourquoi conseille-t-il la destination Canada ? «L’immigration y est facile, la LPR (loi sur la protection des réfugiés), est favorable à l’immigration, les Canadiens font moins d’enfants, leur espérance de vie devient de plus en plus grande, le Québec seul fait dix (10) fois la superficie de la France. Pourquoi donc aller là où on n’a pas besoin de vous», s’est-il interrogé.
A. Dedi
