Le G8 exige la poursuite des consultations entre les protagonistes Jacob Zuma et Ali Bongo
Le président de la République, Alassane Ouattara, est de retour, depuis samedi 17 mars 2012 de Cotonou, où il a pris part à une réunion du Groupe des huit (8) de l’Union Africaine. Il s’agissait pour le G8 de réfléchir et de trouver une solution à l’impasse née de la non- élection du Président, du Vice- Président et des membres de la Commission de l’Organisation continentale lors de la 18è Session ordinaire de la conférence des Chefs d’Etat et de gouvernement des 29 et 30 janvier 2012 à Addis-Abeba, en Ethiopie.
C’est à 18 h que le Boeing présidentiel qui transportait le chef de l’Etat s’est posé sur le tarmac de l’aéroport international Felix Houphouët-Boigny. Alassane Ouattara a été accueilli à sa descente d’avion par le Premier ministre Jeannot Ahoussou Kouadio, des membres du gouvernement ainsi que des présidents d’Institutions. Dans les échanges avec la presse au salon d’honneur, le président de la République dit avoir eu avec ses homologues, des échanges fructueux qui ont permis d’accorder leurs violons quant à l’élection à la présidence de la Commission de l’Union africaine. «Nous avons eu des échanges très fructueux. Nous avons fait des progrès importants. En réalité, les échanges ont permis de rapprocher les points de vue, notamment ceux des deux pays qui avaient proposé leurs candidats : la République gabonaise et la République de l’Afrique du Sud. Les deux Etats vont se concerter et très rapidement, nous allons nous retrouver pour que la fumée blanche puisse effectivement sortir. Nous sommes confiants que cette concertation, dans les deux semaines à venir, nous permettra de trouver une solution pour que les chefs d’Etat à l’occasion de la rencontre du sommet de l’Union africaine à Lilongwé au Malawi puissent régler, de manière définitive, la question de la présidence de la commission de l’Union africaine», a indiqué Alassane Ouattara. Tout en se félicitant de la présence à cette rencontre des représentants des cinq régions africaines. Rencontre présidée par le président béninois Yayi Boni. «Comme toujours nous avons reçu un accueil très chaleureux à Cotonou. Cela nous donne l’envie d’y retourner très prochainement», a-t-il laissé entendre. A l’ouverture de cette réunion de haut niveau à Cotonou , le président en exercice de l’Union africaine a relevé qu’il s’agit, à travers la rencontre, de réfléchir et de trouver une solution à l’impasse née de la non élection du président, du vice-président et des membres de la Commission de l’organisation continentale lors de la 18 ème session ordinaire de la Conférence des chefs d’Etat et du gouvernement des 29 et 30 janvier 2012 à Addis-Abeba en Ethiopie. Il a exprimé sa ferme conviction devant ses pairs de la Côte d’Ivoire, du Gabon, du Tchad et de l’Afrique du Sud, de voir leurs assises aboutir à des propositions concrètes, pour sortir de l’impasse actuelle et regagner la confiance des différents peuples et de la Communauté internationale. Au terme d'une réunion de 6 heures (10h40- 16h45), le ministre des Affaires étrangères du Bénin, S.E.M.Arifari Bako, a fait le point des travaux. L’on retiendra que «les échanges fructueux menés au sein du Comité ont permis de faire des avancées dans la voie de la recherche d’une solution consensuelle en vue de l’élection du Président, du Vice- Président et des membres de la Commission de l’Union Africaine » ; et que les consultations démarrées à Cotonou se poursuivront entre les membres dudit Comité, notamment entre les principaux protagonistes que sont la République Gabonaise et la République d’Afrique du Sud. Ceci, afin d’éviter tout nouveau blocage lors du prochain Sommet de l’UA. L’Angola, l’Algérie et l’Ethiopie étaient représentés à cette rencontre par les premiers ministres.
Touré Abdoulaye
Le président de la République, Alassane Ouattara, est de retour, depuis samedi 17 mars 2012 de Cotonou, où il a pris part à une réunion du Groupe des huit (8) de l’Union Africaine. Il s’agissait pour le G8 de réfléchir et de trouver une solution à l’impasse née de la non- élection du Président, du Vice- Président et des membres de la Commission de l’Organisation continentale lors de la 18è Session ordinaire de la conférence des Chefs d’Etat et de gouvernement des 29 et 30 janvier 2012 à Addis-Abeba, en Ethiopie.
C’est à 18 h que le Boeing présidentiel qui transportait le chef de l’Etat s’est posé sur le tarmac de l’aéroport international Felix Houphouët-Boigny. Alassane Ouattara a été accueilli à sa descente d’avion par le Premier ministre Jeannot Ahoussou Kouadio, des membres du gouvernement ainsi que des présidents d’Institutions. Dans les échanges avec la presse au salon d’honneur, le président de la République dit avoir eu avec ses homologues, des échanges fructueux qui ont permis d’accorder leurs violons quant à l’élection à la présidence de la Commission de l’Union africaine. «Nous avons eu des échanges très fructueux. Nous avons fait des progrès importants. En réalité, les échanges ont permis de rapprocher les points de vue, notamment ceux des deux pays qui avaient proposé leurs candidats : la République gabonaise et la République de l’Afrique du Sud. Les deux Etats vont se concerter et très rapidement, nous allons nous retrouver pour que la fumée blanche puisse effectivement sortir. Nous sommes confiants que cette concertation, dans les deux semaines à venir, nous permettra de trouver une solution pour que les chefs d’Etat à l’occasion de la rencontre du sommet de l’Union africaine à Lilongwé au Malawi puissent régler, de manière définitive, la question de la présidence de la commission de l’Union africaine», a indiqué Alassane Ouattara. Tout en se félicitant de la présence à cette rencontre des représentants des cinq régions africaines. Rencontre présidée par le président béninois Yayi Boni. «Comme toujours nous avons reçu un accueil très chaleureux à Cotonou. Cela nous donne l’envie d’y retourner très prochainement», a-t-il laissé entendre. A l’ouverture de cette réunion de haut niveau à Cotonou , le président en exercice de l’Union africaine a relevé qu’il s’agit, à travers la rencontre, de réfléchir et de trouver une solution à l’impasse née de la non élection du président, du vice-président et des membres de la Commission de l’organisation continentale lors de la 18 ème session ordinaire de la Conférence des chefs d’Etat et du gouvernement des 29 et 30 janvier 2012 à Addis-Abeba en Ethiopie. Il a exprimé sa ferme conviction devant ses pairs de la Côte d’Ivoire, du Gabon, du Tchad et de l’Afrique du Sud, de voir leurs assises aboutir à des propositions concrètes, pour sortir de l’impasse actuelle et regagner la confiance des différents peuples et de la Communauté internationale. Au terme d'une réunion de 6 heures (10h40- 16h45), le ministre des Affaires étrangères du Bénin, S.E.M.Arifari Bako, a fait le point des travaux. L’on retiendra que «les échanges fructueux menés au sein du Comité ont permis de faire des avancées dans la voie de la recherche d’une solution consensuelle en vue de l’élection du Président, du Vice- Président et des membres de la Commission de l’Union Africaine » ; et que les consultations démarrées à Cotonou se poursuivront entre les membres dudit Comité, notamment entre les principaux protagonistes que sont la République Gabonaise et la République d’Afrique du Sud. Ceci, afin d’éviter tout nouveau blocage lors du prochain Sommet de l’UA. L’Angola, l’Algérie et l’Ethiopie étaient représentés à cette rencontre par les premiers ministres.
Touré Abdoulaye