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Politique Publié le lundi 19 mars 2012 | Le Patriote

Article 42 : Procédure de vote pour l`élection des membres de la Commission

Le vote commence par l'élection du Président de la Commission, suivie de celle du Vice-président; par la suite, la Conférence nomme les Commissaires élus par le ConSélI exécutif.
Lors des élections du Président ou du Vlce--présldent de la Commission, le vote pour chaque poste se poursuit jusqu'à ce que l'un des candidats obtienne la majorité requise des deux tiers. Toutefois, si, à l'Issue du troisième tour de scrutin, aucun candidat n'obtient la majorité requise, le scrutin se poursuit avec seulement les deux (2) candidats qui ont obtenu le plus grand nombre de volx au troisième tour.
Si à l'issue de trois (3) autres tours de scrutin, aucun des deux (2) candidats n'obtient la majorité requise, le candidat ayant eu le moins de volx se retire. Lorsqu'II n'y a que deux (2) candidats au départ et qu'aucun des deux (2) n'obtient la majorité requise après le troisième tour de scrutin, le candidat ayant eu le moins de volx se retlre..l?! le scrutin se poursuit avec le candidat restant.
Si le candidat restant n'obtient pas la majorité requise au cours de ce scrutin, le Président suspend les élections. Lorsqu'il n'y a qu'un seul candidat et que ce demler n'obtient pas la majorité requise après le troisième ~ur de scrutin, le Président suspend les élections.
Le Vice-président de la Commission assume la présidence de la Commission, à titre intérimaire, Jusqu'à l'organisation de nouvelles élections. Si l'impasse conceme lsi VIce-président, le doyen des Commissaires par la durée du mandat ou par l'âge, si la durée du mandat est la même pour deux (2) Commissaires, est désigné pour assurer l'Intérim du VIce-président jusqu'à la tenue de nouvelles élections.
Cette procédure de vote prévue dans les paragraphes 2, 3, 4 et 5 ci-dessus est applicable à toutes les élections dirigées par la Conférence en ce qui concerne les autres organes de l'Union.


Conclusion de la réunion du Comité ad hoc
Le Comité ad’hoc des huit Chefs d’Etat et de gouvernement, mandaté par le 18ème Sommet de la Conférence des Chefs d’Etat et de gouvernement de l’UA s’est réuni ce jour, 17 mars 2012 au Bénin.
Les échanges fructueux menés au sein du Comité ont permis de faire des avancées positives dans la voie de la recherche d’une solution consensuelle en vue de l’élection du Président, du Vice-président et des membres de la Commission de l’UA. Les consultations démarrées ici à Cotonou, se poursuivront entre les membres dudit Comité, notamment entre la République du Gabon et la République d’Afrique du Sud.
Les résultats de ces consultations seront présentés à la prochaine rencontre des membres du Comité pour formuler des recommandations devant permettre l’élection des membres de la Commission lors du sommet de la Conférence des Chefs d’Etat et de gouvernement qui se tiendra à Lilongwé, au Malawi, en juillet 2012.
Arifary Bako, ministre bénois des Affaires Etrangères.


ADO de retour du mini sommet de l’UA à Cotonou
“Les échanges ont été fructueux”
Le Président de la République, SEM. Alassane OUATTARA, a regagné Abidjan, ce Samedi 17 Mars 2012 à 18h, après avoir pris part à la réunion du comité ad hoc de l'Union Africaine chargée d'examiner les questions liées à l'élection du Président de la Commission de cette organisation. Les échanges, selon le Chef de l'Etat, ont été fructueux et permis de faire des progrès importants ; notamment le rapprochement des positions des deux pays ayant présenté des candidats.
A cet égard, le Président de la République a indiqué que les Chefs d'Etat du Gabon et de l'Afrique du Sud se retrouveront dans les semaines à venir pour harmoniser leurs points de vue.
Pour le Président Alassane OUATTARA, cela permettra de trouver une solution définitive à cette question au prochain sommet de l'UA à Lilongwe au Malawi.


Reconstruction post-crise/ Des diplomates arabes à Abidjan rassurent :
“Nous ne laisserons pas les ivoiriens tout seuls”
« (…) Nous sommes ici pour signifier aux Ivoiriens que nous sommes des frères, leur dire que nous sommes en phase avec cette vision et nous irons très loin dans le partenariat qui lie le monde arabe à la Côte d’Ivoire.» C’est l’engagement pris par les membres du Conseil des Ambassadeurs arabes accrédités en Côte d’Ivoire à l’issue d’une séance de travail avec le ministre d’Etat, ministre des Affaires étrangères, par la voie de leur porte-parole, SEM l’ambassadeur de Palestine, doyen des diplomates arabes. La rencontre avec le chef de la diplomatie ivoirienne Daniel Kablan Duncan qui a duré près d’une heure a naturellement tourné autour des questions relatives au processus de reconstruction d’une Côte d’Ivoire post-crise. Et comme il fallait s’y attendre, les relations arabo-ivoiriennes ont également meublé les échanges avec le ministre d’Etat Duncan et la délégation des Ambassadeurs arabes en poste dans la capitale ivoirienne: «Il a été question des relations entre la Côte d’Ivoire et nos pays respectifs. Nous avons travaillé tous ensemble pour pouvoir explorer les meilleurs moyens d’intensifier cette coopération économique, politique et culturelle. La Côte d’Ivoire est au cœur du monde arabe. Nos frères ivoiriens viennent de sortir d’une crise électorale, mais le monde arabe ne laissera pas les Ivoiriens tout seuls. Il va trouver les moyens de leur venir en aide, dans l’accomplissement de l’ambition du président Alassane Ouattara, celle de redémarrer l’économie et de reconstruire la nouvelle Côte d’Ivoire» a-t-il fait savoir. La délégation du conseil des ambassadeurs arabes accrédités en Côte d’Ivoire, était composée de dix Ambassadeurs.


Riffi à l’ambassade de la Guinée
Les Guinéens en Côte d’Ivoire interpellent Alpha Condé
Depuis trois semaines, la situation est tendue à l’ambassade de Guinée en Côte d’Ivoire. Contestée par un groupe de ses compatriotes, l’Ambassadeur Makissa Camara n’a plus accès à ses bureaux hermétiquement fermés par des manifestants qui soutiennent qu’elle n’est plus le titulaire du poste. Ecoeurés par cette façon de faire, d’autres Guinéens conduits par Keita N’pha Moussa, Conseiller du directeur de campagne du président Alpha Condé en Côte d’Ivoire, sont montés au créneau samedi dernier, pour interpeller leur président afin qu’il accorde une attention particulière à la situation en Côte d’Ivoire, pour y trouver une solution. Le conférencier a, en effet, regretté l’acharnement sur l’ambassadeur qui, selon lui, a rendu et continue de rendre des services loyaux à ses compatriotes sur les bords de la lagune Ebrié et dans tout le pays. «Cette situation qui ternit l’image de notre pays et bafoue l’honneur des Guinéens, ne peut pas nous laisser indifférents. Cette dame en poste à Abidjan depuis juillet 2005, a assisté ses compatriotes dans les moments difficiles qu’a connus la Côte d’Ivoire. Elle est restée aux côtés des Guinéens pendant toute la crise postélectorale et répond à toutes les sollicitations. Elle mérite respect et considération», a-t-il estimé. Pour lui, il est nécessaire que le président de la Guinée intervienne pour mettre fin à ce qu’il a qualifié de cabale contre l’ambassadeur pour la restauration de l’image de marque de son pays.
LO
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