Le Forum de la Société Civile de l’Afrique de l’Ouest (FOSCAO) déplore la situation détériorant au Mali suite à l’éclatement de l’insurrection des Touareg au nord du pays; les effets de l’instabilité sociopolitique et les impacts négatif sur l’état de paix et sécurité dans le pays ont les répercussions qui se répercuter dans l’ensemble de l’Afrique de l’Ouest et le Maghreb. Cependant, nous louons les efforts qui se sont mis en place aux niveaux locaux et internationaux pour résoudre la situation.
Le FOSCAO également note avec dédain la mutinerie par les personnel de l’armée a la caserne de Kati au banlieue de Bamako, suite à leur demande pour les armes et les munitions adéquats pour contenir la rébellion des Touareg au nord, aussi bien leur mépris de la personnalité et l’autorité du Ministre de Défense du Mali, Saddio Gassama. Nous étions stupéfiés par le développement de la mutinerie à l’attaque au palace présidentiel et le renversement du gouvernement démocratique du President Amadou Toumani Toure le 21 Mars 2012.
Le FOSCAO condamné totalement le coup d’état qui s’est tenu au Mali et demande un retour immédiate du pays au constitutionnel et autorité démocratique sous le Président Toure. Le coup d’état est arbitraire et aussi bien contre les normes, les valeur, et les principles de gouvernance acceptable aux peuples de l’Afrique de l’Ouest comme enoncés dans les provisions du protocol de la CEDEAO sur le Bonne Governance et Democratie. Le coup d’état est essentiellement une circumvention de la volonté collective des maliens et de la souveraineté du Mali.
Cependant le FOSCAO demande aux parties prenantes dans le cadre politique de Mali de se rester calme lors les encourageant d’explorer tous les avenues pour le dialogue et résolution pacifique de leurs grevances. Spécifiquement, nous demandons :
Le retour immédiat du pays au régime constitutionnel et démocratique aussi bien que le retour de l’armée a la caserne.
Le Communauté Économique des État de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO), l’Union Africaine (UA), les Nations Unies (NU), d’inaugurer immédiatement les consultations avec les acteurs pertinents dans le cadre politique du Mali, avec l’objectif de retourner le pays à l’autorité démocratique.
L’ensemble de la communauté internationale, spécialement les pays principaux d’engager en manière constructive et coordonner avec la CEDEAO, l’UA, et l’NU pour adresser la situation au Mali au lieu de le faire en manière unilatérale.
La Société Civile du Mali de jouer un rôle actif d’être la avant-garde de la participation populaire condamnant activement le coup d’état au Mali et consultant avec les parties prenantes afin de trouver une résolution pacifique pour la situation.
Comme la situation se développe, le FOSCAO exprime son dévouement de continuer à suivre et contribuer en manière constructive au processus dirigé au retour rapide du Mali au gouvernement constitutionnel.
FOSCAO :
Dr. Jibrin Ibrahim
Le Président du Comite Exécutif du FOSCAO.
Le FOSCAO également note avec dédain la mutinerie par les personnel de l’armée a la caserne de Kati au banlieue de Bamako, suite à leur demande pour les armes et les munitions adéquats pour contenir la rébellion des Touareg au nord, aussi bien leur mépris de la personnalité et l’autorité du Ministre de Défense du Mali, Saddio Gassama. Nous étions stupéfiés par le développement de la mutinerie à l’attaque au palace présidentiel et le renversement du gouvernement démocratique du President Amadou Toumani Toure le 21 Mars 2012.
Le FOSCAO condamné totalement le coup d’état qui s’est tenu au Mali et demande un retour immédiate du pays au constitutionnel et autorité démocratique sous le Président Toure. Le coup d’état est arbitraire et aussi bien contre les normes, les valeur, et les principles de gouvernance acceptable aux peuples de l’Afrique de l’Ouest comme enoncés dans les provisions du protocol de la CEDEAO sur le Bonne Governance et Democratie. Le coup d’état est essentiellement une circumvention de la volonté collective des maliens et de la souveraineté du Mali.
Cependant le FOSCAO demande aux parties prenantes dans le cadre politique de Mali de se rester calme lors les encourageant d’explorer tous les avenues pour le dialogue et résolution pacifique de leurs grevances. Spécifiquement, nous demandons :
Le retour immédiat du pays au régime constitutionnel et démocratique aussi bien que le retour de l’armée a la caserne.
Le Communauté Économique des État de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO), l’Union Africaine (UA), les Nations Unies (NU), d’inaugurer immédiatement les consultations avec les acteurs pertinents dans le cadre politique du Mali, avec l’objectif de retourner le pays à l’autorité démocratique.
L’ensemble de la communauté internationale, spécialement les pays principaux d’engager en manière constructive et coordonner avec la CEDEAO, l’UA, et l’NU pour adresser la situation au Mali au lieu de le faire en manière unilatérale.
La Société Civile du Mali de jouer un rôle actif d’être la avant-garde de la participation populaire condamnant activement le coup d’état au Mali et consultant avec les parties prenantes afin de trouver une résolution pacifique pour la situation.
Comme la situation se développe, le FOSCAO exprime son dévouement de continuer à suivre et contribuer en manière constructive au processus dirigé au retour rapide du Mali au gouvernement constitutionnel.
FOSCAO :
Dr. Jibrin Ibrahim
Le Président du Comite Exécutif du FOSCAO.