Il ne peut y pas avoir de réconciliation sans que le volet politique ne soit pris en compte.
Acteur majeur de la scène politique ivoirienne, le Front populaire ivoirien (Fpi) représenté par sa direction, a été réçu hier par le président de la Commission dialogue vérité et réconciliation (Cdvr), à sa résidence de la Riviéra III à Cocody. «La direction du Fpi est venue échanger avec la Cdvr en temps qu’acteur politique majeur. La réconciliation étant un processus inclusif, il nous a paru nécessaire de les associer. Nous avons parlé de la nécessité pour les partis politiques, notamment le Fpi, de prendre part au processus. Le dialogue politique doit s’amorcer et il ne peut pas y avoir de réconciliation sans que le volet politique s’amorce, notamment par le dialogue. Le dialogue s’amorce déjà au sein des populations. Cela tarde au sein du monde politique. Il faudra que cela se fasse bientôt. J’ai compris et retenu que le Fpi s’engage au processus», a indiqué le président de la Cdvr, Charles Konan Banny.
La délégation du Fpi, conduite par son président par intérim, Miaka Ouretto, était composée d’Alphonse Douatty, Dano Djédjé et de l’honorable Lorougnon Marie Odette. Au nom de la délégation, Alphonse Douatty a précisé que cette démarche s’inscrit dans la dynamique d’un processus véritable autour de la nation. « Le président de la Cdvr nous a informé de sa méthode de travail, de ce qu’il entend mettre en place ces prochains jours pour lancer véritablement le processus de réconciliation. De façon succincte, il s’agit d’un processus qui se tisse autour de la nation ivoirienne. Il ne s’agit pas d’un processus partisan, qui ne doit pas être confondu avec les actions gouvernementales. Il s’agit d’un véritable processus autour de la nation. Nous avons pris acte et nous lui avons exprimé notre disponibilité à nous inscrire dans ce processus. Nous partons donc avec beaucoup d’espoir et rassurés de ce que les actions de réconciliation qui doivent réunir tous les ivoiriens prendront bientôt corps. Nous ne comptons pas donner plus de détails à ce stade».
Djè Abel
Acteur majeur de la scène politique ivoirienne, le Front populaire ivoirien (Fpi) représenté par sa direction, a été réçu hier par le président de la Commission dialogue vérité et réconciliation (Cdvr), à sa résidence de la Riviéra III à Cocody. «La direction du Fpi est venue échanger avec la Cdvr en temps qu’acteur politique majeur. La réconciliation étant un processus inclusif, il nous a paru nécessaire de les associer. Nous avons parlé de la nécessité pour les partis politiques, notamment le Fpi, de prendre part au processus. Le dialogue politique doit s’amorcer et il ne peut pas y avoir de réconciliation sans que le volet politique s’amorce, notamment par le dialogue. Le dialogue s’amorce déjà au sein des populations. Cela tarde au sein du monde politique. Il faudra que cela se fasse bientôt. J’ai compris et retenu que le Fpi s’engage au processus», a indiqué le président de la Cdvr, Charles Konan Banny.
La délégation du Fpi, conduite par son président par intérim, Miaka Ouretto, était composée d’Alphonse Douatty, Dano Djédjé et de l’honorable Lorougnon Marie Odette. Au nom de la délégation, Alphonse Douatty a précisé que cette démarche s’inscrit dans la dynamique d’un processus véritable autour de la nation. « Le président de la Cdvr nous a informé de sa méthode de travail, de ce qu’il entend mettre en place ces prochains jours pour lancer véritablement le processus de réconciliation. De façon succincte, il s’agit d’un processus qui se tisse autour de la nation ivoirienne. Il ne s’agit pas d’un processus partisan, qui ne doit pas être confondu avec les actions gouvernementales. Il s’agit d’un véritable processus autour de la nation. Nous avons pris acte et nous lui avons exprimé notre disponibilité à nous inscrire dans ce processus. Nous partons donc avec beaucoup d’espoir et rassurés de ce que les actions de réconciliation qui doivent réunir tous les ivoiriens prendront bientôt corps. Nous ne comptons pas donner plus de détails à ce stade».
Djè Abel