Un conseil des ministres s’est tenu hier, au palais présidentiel sous la présidence du chef de l’Etat, Alassane Ouattara. Au cours de cette rencontre, le gouvernement a pris d’importantes décisions dont le recrutement de 8.000 enseignants dans le secteur de l’éducation.
Bienheureux les jeunes diplômés ivoiriens qui rêvent d’embrasser la carrière d’enseignant. Au cours du dernier conseil des ministres qui s’est tenu hier au palais présidentiel du Plateau, le gouvernement a pris une mesure de recrutement dans l’enseignement. C’est le ministre des Nouvelles technologies de l’information et de la communication, par ailleurs porte-parole du gouvernement, qui a donné la bonne nouvelle au cours du traditionnel point de presse qu’il a animé après le conseil. « Vu l’urgence, le conseil a autorisé le ministre de la Fonction publique et le ministre en charge de l’éducation à procéder au recrutement d’un certain nombre d’enseignants. 2.500 instituteurs adjoints et 2.500 instituteurs ordinaires auxquels il faut ajouter 3.000 enseignants contractuels qui vont être recrutés pour la période de quatre mois entre maintenant et la fin de l’année », a relevé le ministre Koné Nabagné Bruno. Poursuivant, le porte-parole du gouvernement a apporté des précisions sur le recrutement exceptionnel de 3.000 enseignants déjà lancé par le ministère de l’Education nationale. « Il s’agit ici de recrutement exceptionnel qui ne rentre pas dans le format du recrutement de la fonction publique. Cela induit donc que les personnes qui vont être recrutées n’auront pas les conditions habituelles qu’ont les enseignants qui sont recrutés par des voix officielles. Ils auront une rémunération mensuelle qui ne sera pas celle des enseignants officiellement recrutés », a ajouté le ministre Koné Bruno. Au-delà des questions d’éducation, le gouvernement a aussi examiné et adopté le Document de stratégie de réduction de la pauvreté (Dsrp) élaboré depuis 2009 et le Plan national de développement (Pnd). Au terme de ce conseil, le gouvernement a regretté l’accident survenu sur l’axe Abidjan-Bouaké le mardi 27 mars et exprimer sa compassion aux familles des victimes. Une délégation ministérielle accompagnée d’enquêteurs du ministère de l’Intérieur et des Transports a été dépêchée à Bouaké pour faire d’une part l’état des lieux et situer les responsabilités de ce regrettable accident d’autre part.
Kra Bernard
Bienheureux les jeunes diplômés ivoiriens qui rêvent d’embrasser la carrière d’enseignant. Au cours du dernier conseil des ministres qui s’est tenu hier au palais présidentiel du Plateau, le gouvernement a pris une mesure de recrutement dans l’enseignement. C’est le ministre des Nouvelles technologies de l’information et de la communication, par ailleurs porte-parole du gouvernement, qui a donné la bonne nouvelle au cours du traditionnel point de presse qu’il a animé après le conseil. « Vu l’urgence, le conseil a autorisé le ministre de la Fonction publique et le ministre en charge de l’éducation à procéder au recrutement d’un certain nombre d’enseignants. 2.500 instituteurs adjoints et 2.500 instituteurs ordinaires auxquels il faut ajouter 3.000 enseignants contractuels qui vont être recrutés pour la période de quatre mois entre maintenant et la fin de l’année », a relevé le ministre Koné Nabagné Bruno. Poursuivant, le porte-parole du gouvernement a apporté des précisions sur le recrutement exceptionnel de 3.000 enseignants déjà lancé par le ministère de l’Education nationale. « Il s’agit ici de recrutement exceptionnel qui ne rentre pas dans le format du recrutement de la fonction publique. Cela induit donc que les personnes qui vont être recrutées n’auront pas les conditions habituelles qu’ont les enseignants qui sont recrutés par des voix officielles. Ils auront une rémunération mensuelle qui ne sera pas celle des enseignants officiellement recrutés », a ajouté le ministre Koné Bruno. Au-delà des questions d’éducation, le gouvernement a aussi examiné et adopté le Document de stratégie de réduction de la pauvreté (Dsrp) élaboré depuis 2009 et le Plan national de développement (Pnd). Au terme de ce conseil, le gouvernement a regretté l’accident survenu sur l’axe Abidjan-Bouaké le mardi 27 mars et exprimer sa compassion aux familles des victimes. Une délégation ministérielle accompagnée d’enquêteurs du ministère de l’Intérieur et des Transports a été dépêchée à Bouaké pour faire d’une part l’état des lieux et situer les responsabilités de ce regrettable accident d’autre part.
Kra Bernard