Abidjan - Le comité national de surveillance des actions de lutte contre la traite, l’exploitation et le travail des enfants, présidé par la Première Dame ivoirienne, Dominique Ouattara, a validé, mercredi, un plan triennal (2012-2014) de lutte contre ce phénomène en Côte d’Ivoire, doté d’un budget de quelque 13,782 milliards de FCA.
Lors d’une cérémonie à l’amphithéâtre au CRRAE-UEMOA au Plateau (Abidjan), en présence de membres du gouvernement, du corps diplomatique et de partenaires bilatéraux et multilatéraux de la Côte d’Ivoire, Mme Ouattara a, à nouveau, lancé un appel à la mobilisation de toutes les acteurs concernés "pour la réussite de cette mission, pour le bonheur des enfants du pays".
Le plan, selon, secrétaire exécutif de ce comité interministériel de lutte contre ce fléau, Dr Adama Coulibaly, vise à réduire considérablement de manière significative les pires formes de travail des enfants d’ici à 2014, et se décline en quatre axes stratégiques. Notamment de la prévention, la protection des enfants, la poursuite et la répression des auteurs de cette infraction et le suivi-évaluation des activités y afférentes.
Une enquête nationale sur le niveau de vie des ménages (ENVM), réalisée en Côte d’Ivoire en 2008, révèle que 1 237 911 enfants âgés de 5 à 17 ans sont "astreints à un travail à abolir", dont 91% soit 1202 404 "impliqués dans un travail dangereux".
Le ministre ivoirien de l’Emploi, des affaires sociales et de la solidarité, Gilbert Kafana Koné, a estimé pour sa part que la Côte d’Ivoire, qui a été longuement exposée sur la scène internationale par le phénomène du travail des enfants, ferra un grand bon qualitatif si les objectifs visés par ce document son atteints. "Car, a-t-il souligné, cela répond à un enjeu économique et social pour notre pays".
La Côte d’Ivoire contribuera à hauteur de 3,032 milliards de FCFA au financement de ces actions, quand 10,750 milliards devront être mobilisés auprès de partenaires et bailleurs de fonds ; Parmi lesquels le Bureau international du Travail (BIT) dont le représentant en Côte d’ivoire, Ben Lakp Low, a affirmé la détermination de son organisation à accompagner la Côte d’Ivoire dans la mise en œuvre de ce nouveau plan de lutte contre le travail des enfants.
Lors d’une cérémonie à l’amphithéâtre au CRRAE-UEMOA au Plateau (Abidjan), en présence de membres du gouvernement, du corps diplomatique et de partenaires bilatéraux et multilatéraux de la Côte d’Ivoire, Mme Ouattara a, à nouveau, lancé un appel à la mobilisation de toutes les acteurs concernés "pour la réussite de cette mission, pour le bonheur des enfants du pays".
Le plan, selon, secrétaire exécutif de ce comité interministériel de lutte contre ce fléau, Dr Adama Coulibaly, vise à réduire considérablement de manière significative les pires formes de travail des enfants d’ici à 2014, et se décline en quatre axes stratégiques. Notamment de la prévention, la protection des enfants, la poursuite et la répression des auteurs de cette infraction et le suivi-évaluation des activités y afférentes.
Une enquête nationale sur le niveau de vie des ménages (ENVM), réalisée en Côte d’Ivoire en 2008, révèle que 1 237 911 enfants âgés de 5 à 17 ans sont "astreints à un travail à abolir", dont 91% soit 1202 404 "impliqués dans un travail dangereux".
Le ministre ivoirien de l’Emploi, des affaires sociales et de la solidarité, Gilbert Kafana Koné, a estimé pour sa part que la Côte d’Ivoire, qui a été longuement exposée sur la scène internationale par le phénomène du travail des enfants, ferra un grand bon qualitatif si les objectifs visés par ce document son atteints. "Car, a-t-il souligné, cela répond à un enjeu économique et social pour notre pays".
La Côte d’Ivoire contribuera à hauteur de 3,032 milliards de FCFA au financement de ces actions, quand 10,750 milliards devront être mobilisés auprès de partenaires et bailleurs de fonds ; Parmi lesquels le Bureau international du Travail (BIT) dont le représentant en Côte d’ivoire, Ben Lakp Low, a affirmé la détermination de son organisation à accompagner la Côte d’Ivoire dans la mise en œuvre de ce nouveau plan de lutte contre le travail des enfants.