Ouagadougou / Abidjan - Au Burkina Faso, principalement dans les provinces du Soum et de l'Oudalan, plusieurs milliers de réfugiés maliens font face à une situation humanitaire difficile. La Croix-Rouge burkinabè, avec le soutien du Comité International de la Croix-Rouge (CICR), vient de remettre des secours d'urgence à plus de 18 000 personnes (plus de 2700 ménages) identifiées sur cinq sites de réfugiés.
« Les réfugiés témoignent au quotidien de conditions de vie difficiles en matière d'abris, d'accès à l'eau, aux soins de santé et de sécurité alimentaire », indique Mme Dominique Liengme, cheffe de la délégation régionale du Comité international de la Croix-Rouge à Abidjan.
Les réfugiés qui ont bénéficié de cette assistance se trouvent dans la province de l’Oudalan, à Férério, Gandafabou, Déou, Dibissi et Gountouré Gnegne. Ils ont reçu des couvertures, bâches, matériel de cuisine, savons et seaux.
« Nous continuons d’enregistrer chaque jour plusieurs centaines de refugiés en plus de ceux déjà installés sur les sites d’accueil dans les provinces du Soum et de l’Oudalan. Nous suivons de près l'évolution de la situation humanitaire et cherchons avec nos partenaires, les moyens de répondre de manière adéquate aux besoins des civils les plus touchés », précise Modeste Konkobo, coordonnateur national chargé de la préparation et de la réponse aux catastrophes à la Croix-Rouge burkinabè.
Depuis 1992 la délégation régionale du CICR à Abidjan couvre le Burkina Faso, le Ghana, le Togo, le Bénin ainsi que la Côte d'Ivoire. Le CICR coopère avec les Sociétés nationales de la Croix- Rouge et du Croissant-Rouge afin d’apporter une réponse concertée, rationnelle et rapide aux besoins humanitaires des personnes victimes d’un conflit armé ou d’autres situations de violence.
Depuis 1961, la Croix-Rouge burkinabè mène des opérations d’urgence lors des catastrophes et des conflits (par exemple, la grande sécheresse de 1973, les inondations de 2009 et 2010, les différents conflits frontaliers et les mouvements des populations en 1994).
« Les réfugiés témoignent au quotidien de conditions de vie difficiles en matière d'abris, d'accès à l'eau, aux soins de santé et de sécurité alimentaire », indique Mme Dominique Liengme, cheffe de la délégation régionale du Comité international de la Croix-Rouge à Abidjan.
Les réfugiés qui ont bénéficié de cette assistance se trouvent dans la province de l’Oudalan, à Férério, Gandafabou, Déou, Dibissi et Gountouré Gnegne. Ils ont reçu des couvertures, bâches, matériel de cuisine, savons et seaux.
« Nous continuons d’enregistrer chaque jour plusieurs centaines de refugiés en plus de ceux déjà installés sur les sites d’accueil dans les provinces du Soum et de l’Oudalan. Nous suivons de près l'évolution de la situation humanitaire et cherchons avec nos partenaires, les moyens de répondre de manière adéquate aux besoins des civils les plus touchés », précise Modeste Konkobo, coordonnateur national chargé de la préparation et de la réponse aux catastrophes à la Croix-Rouge burkinabè.
Depuis 1992 la délégation régionale du CICR à Abidjan couvre le Burkina Faso, le Ghana, le Togo, le Bénin ainsi que la Côte d'Ivoire. Le CICR coopère avec les Sociétés nationales de la Croix- Rouge et du Croissant-Rouge afin d’apporter une réponse concertée, rationnelle et rapide aux besoins humanitaires des personnes victimes d’un conflit armé ou d’autres situations de violence.
Depuis 1961, la Croix-Rouge burkinabè mène des opérations d’urgence lors des catastrophes et des conflits (par exemple, la grande sécheresse de 1973, les inondations de 2009 et 2010, les différents conflits frontaliers et les mouvements des populations en 1994).