Abidjan, Les ministres en charge des Affaires étrangères de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’ouest (CEDEAO) se disent "vivement préoccupés" par les crises malienne et bissau-guinéenne, appelant au concours des pays membres pour trouver des solutions rapides à ces situations, qui laissent planer "de sérieuses menaces sur la paix et la stabilité dans la sous-région".
Alors que le nord du Mali est occupé par la rébellion sécessionniste du Mouvement national de libération de l’Azawad (MNLA), qui y a déclaré l’indépendance, la Guinée-Bissau, où les électeurs sont en attente du second tour de l’élection présidentielle, est quant à elle le théâtre, depuis jeudi, d’une tentative de coup d’Etat militaire.
"Les crises malienne et bissau-guinéenne qui mettent à mal la démocratie (…) nous interpelle vivement après celle survenu en Côte d’Ivoire, il y a seulement un an", a déclaré, jeudi, le ministre ivoirien des Affaires étrangères, Daniel Kablan Duncan, lors de la clôture réunion, à Abidjan, des ministres des Affaires étrangères des Etats membres de la CEDEAO consacrée essentiellement à ces deux crises.
Condamnant avec "fermeté" les deux situations, les ministres qui n’ont pas révélé les résolutions de leurs travaux à la presse, entendent les communiquer à leurs présidents respectifs qui se chargeront, après harmonisation des points vues, les rendre publiques.
(AIP)
tm
Alors que le nord du Mali est occupé par la rébellion sécessionniste du Mouvement national de libération de l’Azawad (MNLA), qui y a déclaré l’indépendance, la Guinée-Bissau, où les électeurs sont en attente du second tour de l’élection présidentielle, est quant à elle le théâtre, depuis jeudi, d’une tentative de coup d’Etat militaire.
"Les crises malienne et bissau-guinéenne qui mettent à mal la démocratie (…) nous interpelle vivement après celle survenu en Côte d’Ivoire, il y a seulement un an", a déclaré, jeudi, le ministre ivoirien des Affaires étrangères, Daniel Kablan Duncan, lors de la clôture réunion, à Abidjan, des ministres des Affaires étrangères des Etats membres de la CEDEAO consacrée essentiellement à ces deux crises.
Condamnant avec "fermeté" les deux situations, les ministres qui n’ont pas révélé les résolutions de leurs travaux à la presse, entendent les communiquer à leurs présidents respectifs qui se chargeront, après harmonisation des points vues, les rendre publiques.
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