La chute du Président Laurent Gbagbo le 11 Avril 2011 est le résultat de sa constance inégalée dans sa vision politique. Celle qui consiste dans la bataille pour la souveraineté et l’indépendance effectives de la Côte d’Ivoire et de toute l’Afrique.
Une source constituée d’un groupe de pasteurs en exile au Ghana affirme que dès le 05 Avril 2011 la France aurait envoyé un émissaire chaque jour à la résidence présidentielle pour rencontrer le Président Laurent Gbagbo. Ces émissaires chaque fois, étaient porteurs d’un message mais aussi d’un document que Gbagbo devait signer. Dans lequel document il serait dit qu’une fois la signature du Président apposée, celui-ci cédait de facto, 70% des richesses Ivoiriennes à la France Sarkozienne. Et selon les closes du marché contenu dans le document, la France allait en retour se charger de livrer les rebelles aux FDS pour la libération d’Abidjan et des autres villes de l’intérieur. Mais notre source indique que les envoyés français auraient été chaque fois renvoyés bredouilles vers leur mandant. Ce, jusqu’à l’intensification des bombardements français sur sa résidence, deux jours avant sa chute. Période dans laquelle un autre émissaire français, le dernier, dit l’homme de la dernière chance de Gbagbo, aurait été envoyé avec les mêmes documents et messages. Et notre interlocuteur d’ajouter que cette fois-ci, le Président L aurent Gbagbo, face à la pression internationale et au pilonnage de sa demeure par les Puma français, aurait finalement accepté de signer le fameux document. Toujours selon notre source, dès que le Président Laurent Gbagbo eu touché le stylo pour signer qu’il le déposa aussitôt. Notre interlocuteur ajoute que la première Dame, Simone Gbagbo surprise par le geste de son époux l’aurait pris de coté, dans le bureau de la résidence où elle lui aurait demandé pourquoi est-ce qu’il a refusé de signer le marché diabolique qu’il devait obligatoirement passer avec la France. Et Gbagbo de répondre à son épouse que pendant qu’il s’apprêtait à apposer sa signature, il a entendu une voix qui lui aurait dit ceci ; « la mission pour laquelle je t’ai appelé n’est pas encore terminée. Tu signe quoi ? » ; Tel était le message qui ressemblait plutôt à une mise en garde à son endroit. Et notre source ajoute en outre que la première Dame aurait expliqué à son époux que c’est Dieu qui venait de lui parler. Et cela se serait passé 2 jours avant sa chute le 11 Avril 2011. Aussi que le 11 Avril faisait le 21ème jour de jeûne du Président Gbagbo. C’est ce jour là qu’il a été arrêté. Ainsi, si l’on veut s’en tenir à cette information qui est de source incontestable, elle confirme pour la énième fois le fait que les actions militaires de la France dans la crise Ivoirienne n’avaient rien à voir avec les résultats des élections d’Octobre. Parce que le vainqueur, c’était Laurent Gbagbo, selon le conseil constitutionnel, juge des élections en Côte d’Ivoire. Cette France dont l’ambassadeur en Côte d’Ivoire débite des inepties et autres incongruités sur les chaines de radio internationales, voulait juste installer un laquais au Palais présidentiel d’Abidjan. Et ils ont bien réussi cela depuis le 11 Avril 2011. La grande Côte d’Ivoire est gouvernée par un pouvoir fantoche. Toutefois, si la mission pour laquelle Dieu a appelé Laurent Gbagbo n’est pas encore terminée, c’est la raison pour laquelle il été capturé puis conduit au Nord du pays, ensuite transféré à la CPI, pour enfin revenir triomphalement à son poste de Président, selon le plan de Dieu. Mais les voies de Dieu étant insondables, l’on attend de voir ce qu’il adviendra de son élu qui est en prison au Pays-Bas. C’est cette espérance qui doit revigorer la foi et le moral de tous les Ivoiriens qui en ont déjà perdu. Parce que ce que Dieu dit, il le fait. C’est en cela qu’il est Dieu. Concernant le transfèrement de GBAGBO à la CPI, la même source révèle en sus, que Gbagbo y serait sur ordre de Dieu pour parler au nom du peuple Africain, pour sa délivrance et son élévation. Et que le grand Dieu lui mettra les paroles à la bouche pour parler et délivrer le peuple noir. Cela n’est qu’un aspect de la mission pour laquelle Dieu l’a appelé. Que Dieu nous aide et nous bénisse, nous et notre Président Laurent Gbagbo, afin qu’il réussisse sa mission. Amen !
Olivier Gbadié
frankyleroi@yahoo.fr
Une source constituée d’un groupe de pasteurs en exile au Ghana affirme que dès le 05 Avril 2011 la France aurait envoyé un émissaire chaque jour à la résidence présidentielle pour rencontrer le Président Laurent Gbagbo. Ces émissaires chaque fois, étaient porteurs d’un message mais aussi d’un document que Gbagbo devait signer. Dans lequel document il serait dit qu’une fois la signature du Président apposée, celui-ci cédait de facto, 70% des richesses Ivoiriennes à la France Sarkozienne. Et selon les closes du marché contenu dans le document, la France allait en retour se charger de livrer les rebelles aux FDS pour la libération d’Abidjan et des autres villes de l’intérieur. Mais notre source indique que les envoyés français auraient été chaque fois renvoyés bredouilles vers leur mandant. Ce, jusqu’à l’intensification des bombardements français sur sa résidence, deux jours avant sa chute. Période dans laquelle un autre émissaire français, le dernier, dit l’homme de la dernière chance de Gbagbo, aurait été envoyé avec les mêmes documents et messages. Et notre interlocuteur d’ajouter que cette fois-ci, le Président L aurent Gbagbo, face à la pression internationale et au pilonnage de sa demeure par les Puma français, aurait finalement accepté de signer le fameux document. Toujours selon notre source, dès que le Président Laurent Gbagbo eu touché le stylo pour signer qu’il le déposa aussitôt. Notre interlocuteur ajoute que la première Dame, Simone Gbagbo surprise par le geste de son époux l’aurait pris de coté, dans le bureau de la résidence où elle lui aurait demandé pourquoi est-ce qu’il a refusé de signer le marché diabolique qu’il devait obligatoirement passer avec la France. Et Gbagbo de répondre à son épouse que pendant qu’il s’apprêtait à apposer sa signature, il a entendu une voix qui lui aurait dit ceci ; « la mission pour laquelle je t’ai appelé n’est pas encore terminée. Tu signe quoi ? » ; Tel était le message qui ressemblait plutôt à une mise en garde à son endroit. Et notre source ajoute en outre que la première Dame aurait expliqué à son époux que c’est Dieu qui venait de lui parler. Et cela se serait passé 2 jours avant sa chute le 11 Avril 2011. Aussi que le 11 Avril faisait le 21ème jour de jeûne du Président Gbagbo. C’est ce jour là qu’il a été arrêté. Ainsi, si l’on veut s’en tenir à cette information qui est de source incontestable, elle confirme pour la énième fois le fait que les actions militaires de la France dans la crise Ivoirienne n’avaient rien à voir avec les résultats des élections d’Octobre. Parce que le vainqueur, c’était Laurent Gbagbo, selon le conseil constitutionnel, juge des élections en Côte d’Ivoire. Cette France dont l’ambassadeur en Côte d’Ivoire débite des inepties et autres incongruités sur les chaines de radio internationales, voulait juste installer un laquais au Palais présidentiel d’Abidjan. Et ils ont bien réussi cela depuis le 11 Avril 2011. La grande Côte d’Ivoire est gouvernée par un pouvoir fantoche. Toutefois, si la mission pour laquelle Dieu a appelé Laurent Gbagbo n’est pas encore terminée, c’est la raison pour laquelle il été capturé puis conduit au Nord du pays, ensuite transféré à la CPI, pour enfin revenir triomphalement à son poste de Président, selon le plan de Dieu. Mais les voies de Dieu étant insondables, l’on attend de voir ce qu’il adviendra de son élu qui est en prison au Pays-Bas. C’est cette espérance qui doit revigorer la foi et le moral de tous les Ivoiriens qui en ont déjà perdu. Parce que ce que Dieu dit, il le fait. C’est en cela qu’il est Dieu. Concernant le transfèrement de GBAGBO à la CPI, la même source révèle en sus, que Gbagbo y serait sur ordre de Dieu pour parler au nom du peuple Africain, pour sa délivrance et son élévation. Et que le grand Dieu lui mettra les paroles à la bouche pour parler et délivrer le peuple noir. Cela n’est qu’un aspect de la mission pour laquelle Dieu l’a appelé. Que Dieu nous aide et nous bénisse, nous et notre Président Laurent Gbagbo, afin qu’il réussisse sa mission. Amen !
Olivier Gbadié
frankyleroi@yahoo.fr
