BAMAKO - Les députés maliens réunis en séance plénière ce vendredi, ont adopté une résolution sur l' urgence de l'assistance humanitaire à travers laquelle, ils ont demandé « l'ouverture sans délai d'un corridor humanitaire à destination des régions occupées ».
Les élus de la Nation n'ont d'abord déploré le fait que « les régions de Gao, Kidal et Tombouctou et une partie de celle de Mopti vivent sous occupation du MNLA (Mouvement national de libération de l'Azawad, Ndlr), Ançar-Dine, AQMI et leurs alliés ».
Les populations de cet espace représentant plus des deux tiers du territoire national, sont victimes d'exactions de toutes sortes de la part des rebelles du MNLA, Ançar-Dine, AQMI et leurs alliés, ont-ils évoqué.
Dans cette même résolution, les élus de la nation ont demandé « le retour des ONG et organisations humanitaires et l'arrêt des violences de toutes natures ». Par ailleurs, ils ont « invité les autorités nationales à prendre toutes les dispositions utiles afin de libérer très rapidement les régions, de soulager les souffrances de toutes les victimes de cette ignoble occupation et de permettre aux enfants d'accéder à d'autres structures scolaires ».
A travers cette résolution, les députés maliens ont lancé des ''vibrants appels'' à l'endroit de l'opinion nationale et de la communauté internationale. S'agissant de l'opinion nationale, ils ont lancé un appel pour '' une mobilisation générale'' des ressources en faveur des populations des ''zones occupées'' et de ' 'celles en déplacement''.
Quant à la communauté internationale, ils attendent d'elle la mise en oeuvre d'un ''vaste programme'' d'assistance humanitaire destiné aux populations des zones occupées et celles en déplacement.
Il est à souligner que les élus de la nation malienne ont dénoncé un certain nombre de situations à travers lesquelles ils ont exprimé leur ''indignation''. Parmi celles-ci, on note « le viol collectif de femmes et de jeunes filles, le pillage systématique des hôpitaux, centres de santé, pharmacies, stocks de sécurité alimentaire de toute nature et de carburant, l' application de la charia dans certaines des régions contraire aux dispositions de la Constitution du 25 février 1992 ».
Les élus de la Nation n'ont d'abord déploré le fait que « les régions de Gao, Kidal et Tombouctou et une partie de celle de Mopti vivent sous occupation du MNLA (Mouvement national de libération de l'Azawad, Ndlr), Ançar-Dine, AQMI et leurs alliés ».
Les populations de cet espace représentant plus des deux tiers du territoire national, sont victimes d'exactions de toutes sortes de la part des rebelles du MNLA, Ançar-Dine, AQMI et leurs alliés, ont-ils évoqué.
Dans cette même résolution, les élus de la nation ont demandé « le retour des ONG et organisations humanitaires et l'arrêt des violences de toutes natures ». Par ailleurs, ils ont « invité les autorités nationales à prendre toutes les dispositions utiles afin de libérer très rapidement les régions, de soulager les souffrances de toutes les victimes de cette ignoble occupation et de permettre aux enfants d'accéder à d'autres structures scolaires ».
A travers cette résolution, les députés maliens ont lancé des ''vibrants appels'' à l'endroit de l'opinion nationale et de la communauté internationale. S'agissant de l'opinion nationale, ils ont lancé un appel pour '' une mobilisation générale'' des ressources en faveur des populations des ''zones occupées'' et de ' 'celles en déplacement''.
Quant à la communauté internationale, ils attendent d'elle la mise en oeuvre d'un ''vaste programme'' d'assistance humanitaire destiné aux populations des zones occupées et celles en déplacement.
Il est à souligner que les élus de la nation malienne ont dénoncé un certain nombre de situations à travers lesquelles ils ont exprimé leur ''indignation''. Parmi celles-ci, on note « le viol collectif de femmes et de jeunes filles, le pillage systématique des hôpitaux, centres de santé, pharmacies, stocks de sécurité alimentaire de toute nature et de carburant, l' application de la charia dans certaines des régions contraire aux dispositions de la Constitution du 25 février 1992 ».