Abidjan, 23 avr (AIP)-Arrivés en tête avec respectivement 28,63% et 27,08%, François Hollande candidat du Parti socialiste (PS) et Nicolas Sarkozy, président sortant, candidat de l’Union pour un mouvement populaire (UMP) se retrouveront face à face pour le second tour de la présidentielle en France, le 6 mai prochain.
Selon les résultats du premier tour qui a eu lieu dimanche, les deux candidats donnés favoris par les différents sondages sont arrivés en tête du peloton parmi les 10 candidats ayant rempli les conditions de candidature à l’élection présidentielle française.
Pour les deux candidats, la bataille pour occuper l’Elysée pour les cinq années à venir, "la bataille ne fait que commencer", à en croire à Marine Le Pen du Front national (FN) arrivée en troisième position avec 18,01%.
Le député de Corrèze qui, après François Mitterrand en 1981, veut occuper le fauteuil présidentiel, devrait être "le candidat du rassemblement pour le changement. Ce rassemblement doit être le plus large possible", estime-t-il. C’est pourquoi, il a salué Jean-Luc Mélenchon du Front gauche et l'écologiste Eva Joly qui ont appelé à voter en sa faveur.
Pour sa part, le président sortant, Nicolas Sarkozy, va certainement user de stratégie pour convaincre les électeurs du Front national qui pèsera à coup sûr dans ce second tour, même si Marine Le Pen a critiqué le mandat de celui, tout en dénonçant ses "grandes promesses qui n'ont jamais été tenues".
Pour ce faire, M. Sarkozy propose à son adversaire trois débats aux deux candidats, en vue de présenter leurs programmes de gouvernement pour le prochain quinquennat.
"Les deux candidats ont maintenant un devoir de vérité et un devoir de courage", a-t-il déclaré lors de son discours d’après-résultats.
Quelque 83,77% des 44,5 millions d'électeurs appelés aux urnes se sont mobilisés pour départager les 10 candidats, note-t-on.
(AIP)
kp
Selon les résultats du premier tour qui a eu lieu dimanche, les deux candidats donnés favoris par les différents sondages sont arrivés en tête du peloton parmi les 10 candidats ayant rempli les conditions de candidature à l’élection présidentielle française.
Pour les deux candidats, la bataille pour occuper l’Elysée pour les cinq années à venir, "la bataille ne fait que commencer", à en croire à Marine Le Pen du Front national (FN) arrivée en troisième position avec 18,01%.
Le député de Corrèze qui, après François Mitterrand en 1981, veut occuper le fauteuil présidentiel, devrait être "le candidat du rassemblement pour le changement. Ce rassemblement doit être le plus large possible", estime-t-il. C’est pourquoi, il a salué Jean-Luc Mélenchon du Front gauche et l'écologiste Eva Joly qui ont appelé à voter en sa faveur.
Pour sa part, le président sortant, Nicolas Sarkozy, va certainement user de stratégie pour convaincre les électeurs du Front national qui pèsera à coup sûr dans ce second tour, même si Marine Le Pen a critiqué le mandat de celui, tout en dénonçant ses "grandes promesses qui n'ont jamais été tenues".
Pour ce faire, M. Sarkozy propose à son adversaire trois débats aux deux candidats, en vue de présenter leurs programmes de gouvernement pour le prochain quinquennat.
"Les deux candidats ont maintenant un devoir de vérité et un devoir de courage", a-t-il déclaré lors de son discours d’après-résultats.
Quelque 83,77% des 44,5 millions d'électeurs appelés aux urnes se sont mobilisés pour départager les 10 candidats, note-t-on.
(AIP)
kp