La Chambre de Commerce et d’Industrie de Côte d’Ivoire(CCI-CI) en partenariat avec la CIIE (Communauté ivoirienne d’intelligence économique), a organisé le mardi 24 avril 2012, au siège de ladite Chambre, des journées portes ouvertes sur l’IE (intelligence économique) pour faire découvrir ce concept et son apport à la compétitivité des entreprises et des organisations.
«Donner des idées aux entreprises pour l’appropriation des démarches et des outils et de la veille stratégique, faciliter des rencontres entre acteurs économiques et acteurs de la gestion de l’information».Tels sont les propos de Nicolas Djibo, 1er vice-président de la CCI-CI, à l’ouverture des journées. Selon lui, l’information est un facteur de performance et de compétitivité des organisations. Elle permet d’orienter les stratégies, et de détecter les menaces de risques. A l’en croire, l’information constitue l’enjeu majeur de compétition de l’économie contemporaine. Cependant, ajoute-t-il : «ce puissant instrument moderne de management des entreprises et organisations demeure peu connu des opérateurs économiques. Seuls les grands groupes multinationaux possèdent des services dédiés à l’intelligence économique», a-t-il noté. C’est pourquoi, au nom de la Chambre consulaire, Nicolas Djibo entend associer son institution à toute initiative visant à encourager et sensibiliser les entreprises ainsi que le secteur public au développement de l’IE. A sa suite, le président de la CIIE, Sea Alex a situé le cadre et les enjeux de cette rencontre. Pour lui, l’IE repose sur trois axes notamment, la veille, la protection de l’information et l’influence. « L’environnement économique est tel que la concurrence impose aux entreprises de surveiller leur secteur », a-t-il noté. Dans quelle condition identifier les sources, détecter, analyser et diffuser l'information recueillie ?Quelle démarche adopter ? Quelles précautions prendre et quelle action entreprendre pour aboutir au résultat ? Autant d’interrogations qui doivent être surveillées de près. Pour la valorisation de ce secteur, le président du CIIE a entrepris d’initier des formations pour amener les acteurs à trouver des réponses à ces questions.
Armand K
«Donner des idées aux entreprises pour l’appropriation des démarches et des outils et de la veille stratégique, faciliter des rencontres entre acteurs économiques et acteurs de la gestion de l’information».Tels sont les propos de Nicolas Djibo, 1er vice-président de la CCI-CI, à l’ouverture des journées. Selon lui, l’information est un facteur de performance et de compétitivité des organisations. Elle permet d’orienter les stratégies, et de détecter les menaces de risques. A l’en croire, l’information constitue l’enjeu majeur de compétition de l’économie contemporaine. Cependant, ajoute-t-il : «ce puissant instrument moderne de management des entreprises et organisations demeure peu connu des opérateurs économiques. Seuls les grands groupes multinationaux possèdent des services dédiés à l’intelligence économique», a-t-il noté. C’est pourquoi, au nom de la Chambre consulaire, Nicolas Djibo entend associer son institution à toute initiative visant à encourager et sensibiliser les entreprises ainsi que le secteur public au développement de l’IE. A sa suite, le président de la CIIE, Sea Alex a situé le cadre et les enjeux de cette rencontre. Pour lui, l’IE repose sur trois axes notamment, la veille, la protection de l’information et l’influence. « L’environnement économique est tel que la concurrence impose aux entreprises de surveiller leur secteur », a-t-il noté. Dans quelle condition identifier les sources, détecter, analyser et diffuser l'information recueillie ?Quelle démarche adopter ? Quelles précautions prendre et quelle action entreprendre pour aboutir au résultat ? Autant d’interrogations qui doivent être surveillées de près. Pour la valorisation de ce secteur, le président du CIIE a entrepris d’initier des formations pour amener les acteurs à trouver des réponses à ces questions.
Armand K
