La deuxième demi-finale de la Ligue des champions, Real Madrid-Bayern Munich se joue aujourd’hui à 18 h 45, Gmt. Franck Ribery, l’un des attaquants de la formation allemande se dit confiant.
Le Real Madrid accueille, ce soir à 18 h 45, le Bayern Munich dans le cadre de la seconde demi-finale retour de la Ligue des champions 2012. Avant ce grand rendez-vous attendu par les grands puristes du sport roi, Franck Ribery, le principal goleador de Munich, sur le site du confère L’Equipe, évoque son optimisme. Absent de la finale en 2010, l’attaquant français compte bien se rattraper cette année. «En pleine forme», Ribery et ses équipiers doivent pour cela être vraiment costauds. Depuis sa bagarre avec Arjen Robben, dans le vestiaire à la mi-temps de la demi-finale aller face au Real Madrid (2-1), il avait soigneusement évité le sujet. Hier dans L'Equipe, l'international tricolore du Bayern Munich a déclaré que «tout est rentré dans l'ordre». On n'en saura pas plus. Mais la main tendue par le Français à son coéquipier néerlandais, le samedi 22 avril 2012 en Championnat, tend effectivement à prouver que l'incident est clos. «Si nous parvenons à maintenir le niveau de jeu que nous avons montré à l'aller, on fera quelque chose de grand», prétend-t-il. De bon augure avant ce match retour en terre espagnole. L'ancien Marseillais se montre d'ailleurs persuadé que son équipe a un bon coup à jouer à Santiago-Bernabeu. «Si nous parvenons à maintenir le niveau de jeu que nous avons montré à l'aller, on fera quelque chose de grand», annonce-t-il. Ce qui ne l'empêche pas de rester prudent : «Nous avons conscience que ce sera très difficile. Les Madrilènes sont très costauds. (...) Contre le Barça, ils ont frappé très fort. Ils m'ont impressionné sur le plan tactique». Absent de la finale en 2010 perdue face à l'Inter Milan (0-2), pour cause de suspension, Ribéry compte bien cette fois-ci se rattraper. «Je suis en pleine forme, reconnaît-il, mais ce n'est pas tout seul que je vais éliminer le Real. Il faudra être unis et solidaires». Selon son entraîneur Jupp Heynckes, le Français sera pourtant la clé de la réussite bavaroise. Après plus huit ans de carrière au plus haut niveau, il finit néanmoins par concéder que «c'est son match le plus important». Il a raison car en face, Özil est ses camarades sont prêts à renverser la tendance.
Eugène Djabia
Le Real Madrid accueille, ce soir à 18 h 45, le Bayern Munich dans le cadre de la seconde demi-finale retour de la Ligue des champions 2012. Avant ce grand rendez-vous attendu par les grands puristes du sport roi, Franck Ribery, le principal goleador de Munich, sur le site du confère L’Equipe, évoque son optimisme. Absent de la finale en 2010, l’attaquant français compte bien se rattraper cette année. «En pleine forme», Ribery et ses équipiers doivent pour cela être vraiment costauds. Depuis sa bagarre avec Arjen Robben, dans le vestiaire à la mi-temps de la demi-finale aller face au Real Madrid (2-1), il avait soigneusement évité le sujet. Hier dans L'Equipe, l'international tricolore du Bayern Munich a déclaré que «tout est rentré dans l'ordre». On n'en saura pas plus. Mais la main tendue par le Français à son coéquipier néerlandais, le samedi 22 avril 2012 en Championnat, tend effectivement à prouver que l'incident est clos. «Si nous parvenons à maintenir le niveau de jeu que nous avons montré à l'aller, on fera quelque chose de grand», prétend-t-il. De bon augure avant ce match retour en terre espagnole. L'ancien Marseillais se montre d'ailleurs persuadé que son équipe a un bon coup à jouer à Santiago-Bernabeu. «Si nous parvenons à maintenir le niveau de jeu que nous avons montré à l'aller, on fera quelque chose de grand», annonce-t-il. Ce qui ne l'empêche pas de rester prudent : «Nous avons conscience que ce sera très difficile. Les Madrilènes sont très costauds. (...) Contre le Barça, ils ont frappé très fort. Ils m'ont impressionné sur le plan tactique». Absent de la finale en 2010 perdue face à l'Inter Milan (0-2), pour cause de suspension, Ribéry compte bien cette fois-ci se rattraper. «Je suis en pleine forme, reconnaît-il, mais ce n'est pas tout seul que je vais éliminer le Real. Il faudra être unis et solidaires». Selon son entraîneur Jupp Heynckes, le Français sera pourtant la clé de la réussite bavaroise. Après plus huit ans de carrière au plus haut niveau, il finit néanmoins par concéder que «c'est son match le plus important». Il a raison car en face, Özil est ses camarades sont prêts à renverser la tendance.
Eugène Djabia
