Loin d’être une vue de l’esprit. La fin de l’impunité en Côte d’Ivoire, le Président de la République, Alassane Ouattara, en fait l’un des socles de son pourvoir. Pendant sa dernière visite d’Etat à l’ouest, il l’a encore réitéré. Que ce soit à Man, Toulépleu, Guiglo, Bangolo et Duékoué, Alassane Ouattara a rasséréné les populations de cette partie du pays- dont certains fils ont été instrumentalisés par des politiciens mal intentionnés- sur sa ferme volonté de faire de la Côte d’Ivoire un Etat de droit. Un pays où l’on ne transige pas avec le respect des droits de l’Homme. «L’impunité, c’est terminé! Les crimes seront punis, les tueurs de Robert Guei doivent être connus et punis», a-t-il promis. En le disant, le chef de l’Etat a pleine conscience que si les Ivoiriens doivent réapprendre à vivre ensemble, la justice doit être le moteur de la vie en communauté. C’est pourquoi, pour le numéro un ivoirien, toutes les personnes qui ont posé des actes répréhensibles, pendant la crise postélectorale, de quel que bord politique qu’elles soient, doivent répondre de leurs actes devant les juridictions nationales ou internationales. Ouattara est formel sur la question
Après dix années passées au purgatoire, sous le régime vermoulu de la refondation, la Côte d’Ivoire doit renaitre et réintégrer le concert des Nations. Et pour le disciple de Félix Houphouët-Boigny, cela passe par un pays où des individus qui ôtent la vie à leurs semblables, doivent punis par la loi.
En tout cas, Ouattara ne veut plus que la Côte d’Ivoire soit un pays de non droit. Où un policier comme Dago Séry peut tirer à bout portant sur un journaliste pour lui ôter la vie sans crainte. Il rêve plutôt d’un pays où tous les citoyens sont égaux et confiants devant la justice.
Jean- Antoine Doudou
Après dix années passées au purgatoire, sous le régime vermoulu de la refondation, la Côte d’Ivoire doit renaitre et réintégrer le concert des Nations. Et pour le disciple de Félix Houphouët-Boigny, cela passe par un pays où des individus qui ôtent la vie à leurs semblables, doivent punis par la loi.
En tout cas, Ouattara ne veut plus que la Côte d’Ivoire soit un pays de non droit. Où un policier comme Dago Séry peut tirer à bout portant sur un journaliste pour lui ôter la vie sans crainte. Il rêve plutôt d’un pays où tous les citoyens sont égaux et confiants devant la justice.
Jean- Antoine Doudou