Grand-Bassam -Le président de Liberté et démocratie pour la République (LIDER, Opposition), Pr Mamadou Koulibaly, a invité, vendredi, à Grand-Bassam, la classe politique ivoirienne à un franc jeu pour éviter la population ivoirienne la souffrance.
"Si les uns ont le sentiment d’avoir les autres et pour les autres d’avoir berné avec plein d’hypocrisie, dans 15 ans, on sera ici (Grand-Bassam) à essayer à réconcilier les ivoiriens", a déclarer le leader de Lider, souhaitant que la classe politique, à partir d’aujourd’hui (vendredi) se met d’accord sur les règles du jeu politique, pour qu’au sortir du conclave, "on aura gagné de venir dépenser l’argent du contribuable" à Grand-Bassam.
Pour sa part, le premier ministre, Me Jeannot Kouadio-Ahoussou, ouvrant cette rencontre entre le pouvoir et son opposition, a rappelé qu’"au-delà de nos différences ethniques, religieuses ou d’opinions politiques, nous avons tous en partage une identité, une patrie, une terre, la Côte d’Ivoire que nous devons aimer et servir avec amour, désintéressement et raison".
"Au nom donc de cet amour pour la Côte d’Ivoire et dans un esprit de fraternité vraie, nous devons rechercher ensemble les voies et les moyens pour construire l’avenir", a fait savoir le premier ministre, initiateur du dialogue républicain qui met face à face, durant deux jours, des membres du gouvernement et les représentants du Front populaire ivoirien (FPI), de Lider, de l’Union démocratique citoyenne (Udcy), de l’Union républicaine pour la démocratie (URD), du Mouvement national citoyen Alternative (MNC-Alternative), de la Ligue des mouvements pour le progrès (LMP), du Rassemblement du peuple de Côte d’Ivoire (RPCI), du Congrès national pour la résistance et la démocratie (CNRD)…
Ce conclave politique est initié par le premier ministre, en vue de la relance du dialogue politique et démocratique vise à créer un cadre d’échanges sur les grands sujets de la politique nationale, notamment les conditions de la confiance pour consolider le processus démocratique, rappelle-t-on.
"Si les uns ont le sentiment d’avoir les autres et pour les autres d’avoir berné avec plein d’hypocrisie, dans 15 ans, on sera ici (Grand-Bassam) à essayer à réconcilier les ivoiriens", a déclarer le leader de Lider, souhaitant que la classe politique, à partir d’aujourd’hui (vendredi) se met d’accord sur les règles du jeu politique, pour qu’au sortir du conclave, "on aura gagné de venir dépenser l’argent du contribuable" à Grand-Bassam.
Pour sa part, le premier ministre, Me Jeannot Kouadio-Ahoussou, ouvrant cette rencontre entre le pouvoir et son opposition, a rappelé qu’"au-delà de nos différences ethniques, religieuses ou d’opinions politiques, nous avons tous en partage une identité, une patrie, une terre, la Côte d’Ivoire que nous devons aimer et servir avec amour, désintéressement et raison".
"Au nom donc de cet amour pour la Côte d’Ivoire et dans un esprit de fraternité vraie, nous devons rechercher ensemble les voies et les moyens pour construire l’avenir", a fait savoir le premier ministre, initiateur du dialogue républicain qui met face à face, durant deux jours, des membres du gouvernement et les représentants du Front populaire ivoirien (FPI), de Lider, de l’Union démocratique citoyenne (Udcy), de l’Union républicaine pour la démocratie (URD), du Mouvement national citoyen Alternative (MNC-Alternative), de la Ligue des mouvements pour le progrès (LMP), du Rassemblement du peuple de Côte d’Ivoire (RPCI), du Congrès national pour la résistance et la démocratie (CNRD)…
Ce conclave politique est initié par le premier ministre, en vue de la relance du dialogue politique et démocratique vise à créer un cadre d’échanges sur les grands sujets de la politique nationale, notamment les conditions de la confiance pour consolider le processus démocratique, rappelle-t-on.