Abidjan -Le président ivoirien, Alassane Ouattara, a quitté Abidjan, dimanche, pour une visite privée de quelques jours en France, a appris l’AIP de source officielle.
Selon un communiqué de la présidence parvenue à l’AIP, le chef de l’Etat se rendra ensuite à Dakar, au Sénégal, où il participera, le 3 mai, à un mini-sommet de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’ouest (Cedeao), en compagnie des chefs d`Etat du Nigeria, de la Gambie, du Togo, du Cap-Vert, de la Guinée et du Sénégal.
Le président ivoirien participera à la rencontre de haut niveau des membres du groupe de contact sur la Guinée-Bissau, en sa qualité de président en exercice de la Cedeao.
A l’issue de sa dernière rencontre extraordinaire tenue jeudi à Abidjan, la Cedeao a donné un ultimatum à la junte militaire ayant perpétré un coup de force le 12 avril, de mettre tout en œuvre pour un retour à l’ordre constitutionnel au risque de se voir infligée des sanctions diplomatiques, économiques et financières, rappelle-t-on.
En réaction à cette décision de la Cedeao, les autorités militaires, après avoir libéré le président par intérim, Raimundo Pereira, et le premier ministre, Carlos Gomes Junior, ont annoncé la réduction de la période de transition de deux à un an, sans préciser les organes et les membres de cette transition.
Selon un communiqué de la présidence parvenue à l’AIP, le chef de l’Etat se rendra ensuite à Dakar, au Sénégal, où il participera, le 3 mai, à un mini-sommet de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’ouest (Cedeao), en compagnie des chefs d`Etat du Nigeria, de la Gambie, du Togo, du Cap-Vert, de la Guinée et du Sénégal.
Le président ivoirien participera à la rencontre de haut niveau des membres du groupe de contact sur la Guinée-Bissau, en sa qualité de président en exercice de la Cedeao.
A l’issue de sa dernière rencontre extraordinaire tenue jeudi à Abidjan, la Cedeao a donné un ultimatum à la junte militaire ayant perpétré un coup de force le 12 avril, de mettre tout en œuvre pour un retour à l’ordre constitutionnel au risque de se voir infligée des sanctions diplomatiques, économiques et financières, rappelle-t-on.
En réaction à cette décision de la Cedeao, les autorités militaires, après avoir libéré le président par intérim, Raimundo Pereira, et le premier ministre, Carlos Gomes Junior, ont annoncé la réduction de la période de transition de deux à un an, sans préciser les organes et les membres de cette transition.