À la tête des commandos parachutistes Bérets rouges de la garde présidentielle, Abidine Guindo a tenté le tout pour le tout en attaquant frontalement les militaires putschistes qui ont renversé le président ATT, le 22 mars. Les raisons de son passage à l'acte restent obscures.
Bamako le disait téméraire. Abidine Guindo l’a prouvé en jouant et en perdant gros lundi après-midi, en lançant avec ses Bérets rouges une attaque ratée contre l’aéroport, le siège de la télévision nationale malienne et le QG de l’ex-junte, le camp militaire de Kati.
De fière allure et plutôt bel homme, cet ancien chef d’état-major particulier du président renversé le 22 mars, Amadou Toumani Touré (ATT), était rentré au régiment des Commando parachutistes de Bamako -... suite de l'article sur Jeune Afrique
Bamako le disait téméraire. Abidine Guindo l’a prouvé en jouant et en perdant gros lundi après-midi, en lançant avec ses Bérets rouges une attaque ratée contre l’aéroport, le siège de la télévision nationale malienne et le QG de l’ex-junte, le camp militaire de Kati.
De fière allure et plutôt bel homme, cet ancien chef d’état-major particulier du président renversé le 22 mars, Amadou Toumani Touré (ATT), était rentré au régiment des Commando parachutistes de Bamako -... suite de l'article sur Jeune Afrique