En tant que président en exercice de l’Union africaine, le président du Bénin Boni Yayi a réagi à l’élection de François Hollande à la présidence de la République française.
Boni Yayi compte sur le président élu français pour appuyer l’Afrique sur la scène internationale, rapporte le portail ivoirien Abidjan.net, afin que le continent puisse obtenir «une place de choix» dans la «gouvernannce mondiale».
Cela passe bien évidemment par le dossier de la réforme des institutions des Nations unies et en particulier du Conseil de sécurité dont la France est l’un des cinq membres permanents. Dans un conseil élargi, le président béninois de l'UA verrait bien «un certain de nombre de postes permanents au continent».
«Il y a lieu que sous la présidence du président Hollande, que la France fasse mieux que par le passé pour que nous puissions arriver à un partenariat stratégique.»
Cette dimension globale est au cœur des préoccupations du président en exercice de l’UA concernant le principal dossier de crise en afrique subsaharienne : la crise au Mali.
Rappelant le soutien de l’Union Africaine à l’intervention militaire de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (Cédéao), Boni Yayi sollicite «la couverture onusienne basée sur une résolution forte qui engage la communauté internationale.»
«Nous avons besoin de l’appui logistique parce qu’il s’agit aujourd’hui d’un pays terroriste. Nous ne voulons pas construire un Afghanistan africain», plaide-t-il.
«La France peut jouer un rôle de leadership au sein du Conseil de sécurité» avec le président Hollande, «pour que les questions qui concernent l’Afrique soient examinées avec beaucoup d’attention».
Boni Yayi compte sur le président élu français pour appuyer l’Afrique sur la scène internationale, rapporte le portail ivoirien Abidjan.net, afin que le continent puisse obtenir «une place de choix» dans la «gouvernannce mondiale».
Cela passe bien évidemment par le dossier de la réforme des institutions des Nations unies et en particulier du Conseil de sécurité dont la France est l’un des cinq membres permanents. Dans un conseil élargi, le président béninois de l'UA verrait bien «un certain de nombre de postes permanents au continent».
«Il y a lieu que sous la présidence du président Hollande, que la France fasse mieux que par le passé pour que nous puissions arriver à un partenariat stratégique.»
Cette dimension globale est au cœur des préoccupations du président en exercice de l’UA concernant le principal dossier de crise en afrique subsaharienne : la crise au Mali.
Rappelant le soutien de l’Union Africaine à l’intervention militaire de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (Cédéao), Boni Yayi sollicite «la couverture onusienne basée sur une résolution forte qui engage la communauté internationale.»
«Nous avons besoin de l’appui logistique parce qu’il s’agit aujourd’hui d’un pays terroriste. Nous ne voulons pas construire un Afghanistan africain», plaide-t-il.
«La France peut jouer un rôle de leadership au sein du Conseil de sécurité» avec le président Hollande, «pour que les questions qui concernent l’Afrique soient examinées avec beaucoup d’attention».