Abidjan - Le gouvernement ivoirien, informé des difficultés faites par certains opérateurs pour appliquer les nouveaux prix du riz importé, a décidé, mercredi, de la mise en place d’"un comité de veille permanent", chargé de "suivre les abus, et éventuellement de prendre des décisions ou suggérer des décisions".
L'action de ce comité va permettre, sur les marchés, "le respect" et "l'application complète" du protocole d’accord récemment conclu entre l’Etat et les opérateurs du secteur de ce secteur, a expliqué le porte-parole du gouvernement, Bruno Koné Nabagné, lors d'un point de presse, à l'issue d'un conseil des ministres.
Le ministre Bruno Koné Nabagné, soulignant la détermination des autorités à œuvrer de sorte que "les prix reflètent l’économie normale de chacun des produits concernés", a informé que le gouvernement avait en outre mis à la disposition du ministère du commerce des moyens logistiques (véhicules, mobylettes etc.), pour le contrôle sur le terrain.
Il a également rendu compte de la volonté du gouvernement à veiller à ce que la concurrence dans le secteur soit "totalement libre". "Nous savons que des cartels existent; des mesures sont en train d’être prises pour officiellement les casser afin que tous les acteurs jouent pleinement leur partition ", a-t-il laissé entendre.
L'action de ce comité va permettre, sur les marchés, "le respect" et "l'application complète" du protocole d’accord récemment conclu entre l’Etat et les opérateurs du secteur de ce secteur, a expliqué le porte-parole du gouvernement, Bruno Koné Nabagné, lors d'un point de presse, à l'issue d'un conseil des ministres.
Le ministre Bruno Koné Nabagné, soulignant la détermination des autorités à œuvrer de sorte que "les prix reflètent l’économie normale de chacun des produits concernés", a informé que le gouvernement avait en outre mis à la disposition du ministère du commerce des moyens logistiques (véhicules, mobylettes etc.), pour le contrôle sur le terrain.
Il a également rendu compte de la volonté du gouvernement à veiller à ce que la concurrence dans le secteur soit "totalement libre". "Nous savons que des cartels existent; des mesures sont en train d’être prises pour officiellement les casser afin que tous les acteurs jouent pleinement leur partition ", a-t-il laissé entendre.