Hier, mercredi 9 mai 2012, le chef de l’Etat, Alassane Ouattara a reçu des mains de M. Koné Mamadou, Président de la Chambre des Comptes, le rapport d’activités de son institution. Pour l’hôte du président de la République, cette démarche s’inscrit dans le cadre de l’orthodoxie budgétaire et financière en matière de dépenses publiques. Car, il faut rendre compte de l’état des dépenses. Autre raison de cette démarche auprès du chef de l’Etat, explique Koné Mamadou, c’est d’obéir à une double exigence. A savoir que la Constitution et la Cour Suprême prévoient la remise annuelle du rapport d’activités de la Chambre des Comptes au Chef de l’Etat. Le présent rapport d’activités de la Cour des comptes est particulier, car c’est une synthèse des activités de 1998 à 2009, puisque depuis 1998, les rapports d’activités ne sont plus produits. Pour M. Koné Moussa, en sa qualité de vice-président de la Cour Suprême, produire un tel rapport c’est obéir à trois critères, à savoir : l’activité de contrôle, l’activité d’assistance au Gouvernement et au Parlement, les activités diverses et les recommandations. Toute chose concourant à instaurer l’orthodoxie budgétaire et financière en matière de dépenses publiques afin de rassurer les partenaires au développement.
HK avec le service de Com
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