Abidjan - Le président ivoirien, Alassane Ouattara, a reçu en audience, samedi, à sa résidence de la Riviera Golf, un émissaire de son homologue nigérien, porteur d’un "message verbal", selon une note d’information du département communication de la présidence.
Au sortir de l’audience qui a duré une trentaine de mn, M. Mohamed Bazoum a indiqué que le message du président Issoufou Mahamadou dont il était porteur a trait à la situation "d’insécurité" dans la sous-région, notamment à Bamako et dans la zone nord du Mali, frontalière au Niger.
Il a ajouté que la situation est d’autant plus préoccupante, dans cette partie du Mali, que la ville de Gao, actuellement occupée par des mouvements "terroristes", est à moins de 400 km de Niamey, la capitale nigérienne.
C'est donc au regard de cette situation qu’il a été dépêché auprès du chef de l’Etat ivoirien, également président en exercice de la Cedeao, pour lui expliquer ce qu’il en est exactement, afin qu’une solution rapide et durable puisse être trouvée.
L’émissaire nigérien qui était accompagné du ministre ivoirien de l’Intégration africaine, Adama Bictogo, a révélé qu’au cours des échanges, le président Ouattara lui a fait part des efforts qui sont actuellement entrepris par l’institution sous-régionale pour juguler cette crise qui met en péril la sécurité de toute l’Afrique de l’ouest.
M. Mohamed Bazoum, ministre d’Etat, ministre des Affaires étrangères, de la Coopération, de l’Intégration africaine et des Nigériens à l’extérieur, participe à la réunion des ministres des Affaires étrangères de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’ouest (Cedeao) sur le Mali et la Guinée-Bissau.
Vendredi, le ministre d’Etat Daniel Kablan Duncan dont le pays préside actuellement la Cedeao avait accusé, sur un ton très ferme, l’ex-junte d’être responsable de l’"impasse" politique au Mali et de faire preuve de "défiance" envers la Cedeao qui pourrait se fragiliser si rien n’est fait, rappelle-t-on.
Au sortir de l’audience qui a duré une trentaine de mn, M. Mohamed Bazoum a indiqué que le message du président Issoufou Mahamadou dont il était porteur a trait à la situation "d’insécurité" dans la sous-région, notamment à Bamako et dans la zone nord du Mali, frontalière au Niger.
Il a ajouté que la situation est d’autant plus préoccupante, dans cette partie du Mali, que la ville de Gao, actuellement occupée par des mouvements "terroristes", est à moins de 400 km de Niamey, la capitale nigérienne.
C'est donc au regard de cette situation qu’il a été dépêché auprès du chef de l’Etat ivoirien, également président en exercice de la Cedeao, pour lui expliquer ce qu’il en est exactement, afin qu’une solution rapide et durable puisse être trouvée.
L’émissaire nigérien qui était accompagné du ministre ivoirien de l’Intégration africaine, Adama Bictogo, a révélé qu’au cours des échanges, le président Ouattara lui a fait part des efforts qui sont actuellement entrepris par l’institution sous-régionale pour juguler cette crise qui met en péril la sécurité de toute l’Afrique de l’ouest.
M. Mohamed Bazoum, ministre d’Etat, ministre des Affaires étrangères, de la Coopération, de l’Intégration africaine et des Nigériens à l’extérieur, participe à la réunion des ministres des Affaires étrangères de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’ouest (Cedeao) sur le Mali et la Guinée-Bissau.
Vendredi, le ministre d’Etat Daniel Kablan Duncan dont le pays préside actuellement la Cedeao avait accusé, sur un ton très ferme, l’ex-junte d’être responsable de l’"impasse" politique au Mali et de faire preuve de "défiance" envers la Cedeao qui pourrait se fragiliser si rien n’est fait, rappelle-t-on.