Abidjan - Le président ivoirien, Alassane Ouattara plaide pour "une action concertée de la CEDEAO (Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’ouest)" et l’Onu, dans le cadre de la résolution de la crise politique au Mali dont le nord, occupé par une rébellion sécessionniste, "est le théâtre de toutes sortes de trafics", préjudiciables à la paix et la stabilité dans la sous-région.
"Il faut une action concertée de la CEDEAO et les Nations Unies pour mettre fin à toutes ces agitations", a déclaré M. Ouattara, également président en exercice de la (CEDEAO), lors d’un diner offert, lundi soir à Abidjan, à l’honneur des membres du Conseil de sécurité de l’ONU, en visite de travail en Côte d’Ivoire depuis dimanche.
Il a tenu a attiré l’attention de ses convives, sur le péril qui guette le Mali, ainsi que toute l’Afrique de l’Ouest, avec la présence dans la région septentrionale de ce pays de groupes armées affiliées à des organisations terroristes internationales.
Selon Alassane Ouattara, l’on assiste depuis lors, dans cette zone, à de nombreux trafics criminels, notamment les trafics d’armes, de drogues, d’êtres humains, qui "menacent dangereusement" la stabilité et la paix aussi bien en Afrique de l’ouest que dans tout le golf de Guinée.
Le porte-parole des membres du Conseil de sécurité de l’ONU, le togolais Tojo Menan, qui, pour sa part, a affirmé compter sur le leadership de la Côte d’Ivoire pour impulser une nouvelle dynamique de développement dans la sous-région, a assuré de la disposition des Nations-Unis à accompagner la CEDEAO dans la cadre du "rétablissement de l’ordre constitutionnel" et la paix au Mali.
"L’ex-junte (du capitaine Amadou Sanogo) remet en cause tous les accords, même s’ils sont souvent obtenus après de longues négociations", a-t-il par ailleurs regretté, alors que le président par intérim du Mali, Dioncounda Traoré, était admis à l’hôpital, quelques heures plus tôt à Bamako, après avoir été agressé par des jeunes manifestants favorables à l’ex-junte qui réclamaient la démission ce dernier.
Au cours d’une conférence de presse à Abidjan, lundi en fin d’après-midi, le Conseil de sécurité estimait que cet incident "met considérablement en danger" la sortie de crise au Mali, soulignant sa "ferme volonté d’aider la CEDEAO" dans la gestion de ce dossier.
"Il faut une action concertée de la CEDEAO et les Nations Unies pour mettre fin à toutes ces agitations", a déclaré M. Ouattara, également président en exercice de la (CEDEAO), lors d’un diner offert, lundi soir à Abidjan, à l’honneur des membres du Conseil de sécurité de l’ONU, en visite de travail en Côte d’Ivoire depuis dimanche.
Il a tenu a attiré l’attention de ses convives, sur le péril qui guette le Mali, ainsi que toute l’Afrique de l’Ouest, avec la présence dans la région septentrionale de ce pays de groupes armées affiliées à des organisations terroristes internationales.
Selon Alassane Ouattara, l’on assiste depuis lors, dans cette zone, à de nombreux trafics criminels, notamment les trafics d’armes, de drogues, d’êtres humains, qui "menacent dangereusement" la stabilité et la paix aussi bien en Afrique de l’ouest que dans tout le golf de Guinée.
Le porte-parole des membres du Conseil de sécurité de l’ONU, le togolais Tojo Menan, qui, pour sa part, a affirmé compter sur le leadership de la Côte d’Ivoire pour impulser une nouvelle dynamique de développement dans la sous-région, a assuré de la disposition des Nations-Unis à accompagner la CEDEAO dans la cadre du "rétablissement de l’ordre constitutionnel" et la paix au Mali.
"L’ex-junte (du capitaine Amadou Sanogo) remet en cause tous les accords, même s’ils sont souvent obtenus après de longues négociations", a-t-il par ailleurs regretté, alors que le président par intérim du Mali, Dioncounda Traoré, était admis à l’hôpital, quelques heures plus tôt à Bamako, après avoir été agressé par des jeunes manifestants favorables à l’ex-junte qui réclamaient la démission ce dernier.
Au cours d’une conférence de presse à Abidjan, lundi en fin d’après-midi, le Conseil de sécurité estimait que cet incident "met considérablement en danger" la sortie de crise au Mali, soulignant sa "ferme volonté d’aider la CEDEAO" dans la gestion de ce dossier.