Abidjan - Le Premier ministre malien, Cheick Modobo Diarra, est arrivée à Abidjan, ce samedi, en milieu de matinée, pour une visite de travail, a constaté l’AIP à l’aéroport d’Abidjan.
Accueilli par son homologue ivoirien Jeannot Ahoussou-Kouadio, M. Diarra s'est ensuite rendu au palais présidentiel au Plateau, où une séance de travail est prévue, dans la mi-journée, entre lui et le Président ivoirien, Alassane Ouattara,également président en exercice de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO).
Cheick Modibo Diarra se rend dans la capitale économique ivoirienne, alors que la crise politique dans ce pays s’est enlisée depuis le depuis de cette semaine, où le Président par intérim, Dioncounda Traoré a été physiquement agressé par des manifestant proches de l’ex-junte militaire conduite par le Capitaine Amadou Sanogo.
Transféré en France pour subir des soins supplémentaires, la vie de M. Traoré "n’est pas en danger", apprenait-on après son agression.
Le nord du mali est occupé, depuis ces derniers mois, par une rébellion sécessionniste Touareg, le Mouvement national de libération de l’Azawad (MNLA), qui revendique l’indépendance de cette région, ainsi que divers groupes armés.
Accueilli par son homologue ivoirien Jeannot Ahoussou-Kouadio, M. Diarra s'est ensuite rendu au palais présidentiel au Plateau, où une séance de travail est prévue, dans la mi-journée, entre lui et le Président ivoirien, Alassane Ouattara,également président en exercice de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO).
Cheick Modibo Diarra se rend dans la capitale économique ivoirienne, alors que la crise politique dans ce pays s’est enlisée depuis le depuis de cette semaine, où le Président par intérim, Dioncounda Traoré a été physiquement agressé par des manifestant proches de l’ex-junte militaire conduite par le Capitaine Amadou Sanogo.
Transféré en France pour subir des soins supplémentaires, la vie de M. Traoré "n’est pas en danger", apprenait-on après son agression.
Le nord du mali est occupé, depuis ces derniers mois, par une rébellion sécessionniste Touareg, le Mouvement national de libération de l’Azawad (MNLA), qui revendique l’indépendance de cette région, ainsi que divers groupes armés.