NEW YORK (ONU) - Le Conseil de sécurité de l`ONU a condamné vendredi l`embuscade qui a tué sept Casques bleus nigériens dans le sud-ouest de la Côte d`Ivoire et a exprimé sa "grave inquiétude" à propos de l`insécurité dans cette région frontalière du Liberia.
"Les membres du Conseil de sécurité expriment leur grave inquiétude à propos de l`insécurité qui prévaut dans l`ouest de la Côte d`Ivoire et dans la zone frontalière, et à propos des mouvements transfrontaliers d`éléments armés, dont des milices et des mercenaires", souligne la déclaration du Conseil.
Ils demandent au gouvernement de Côte d`Ivoire de "coopérer avec toutes les parties concernées pour identifier et poursuivre en justice les responsables de cette attaque".
Ils "réitèrent leur soutien total" à l`Onuci (Opération de l`ONU en Côte d`Ivoire).
Dans un communiqué, le secrétaire général de l`ONU Ban Ki-moon s`est aussi déclaré "particulièrement inquiet de linstabilité dans la zone frontalière entre la Côte dIvoire et le Liberia depuis la période post-électorale, et qui a entraîné la mort de nombreuses personnes dans la région".
Il a "exhorté le gouvernement de Côte dIvoire à faire tout son possible pour identifier les responsables et prendre toutes les mesures nécessaires afin quils répondent de leurs actes".
Sept Casques bleus nigériens de l`Onuci ont été tués vendredi dans une embuscade dans l`ouest du pays, menée selon le gouvernement ivoirien par des assaillants venus du Liberia.
Il s`agit de "la première attaque de ce genre" contre l`Onuci, présente dans le pays depuis 2004 et comptant quelque 11.000 éléments (Casques bleus, policiers et employés civils), a souligné un porte-parole de l`Onuci.
Région de loin la plus instable de Côte d`Ivoire, tiraillée par des tensions ethniques sur fond de conflits fonciers, l`Ouest a été la zone la plus meurtrie durant la crise politico-militaire de décembre 2010-avril 2011, qui a fait quelque 3.000 morts à travers le pays.
Elle est depuis lors en proie à des attaques meurtrières et constitue un défi sécuritaire majeur pour le gouvernement du président ivoirien Alassane Ouattara.
"Les membres du Conseil de sécurité expriment leur grave inquiétude à propos de l`insécurité qui prévaut dans l`ouest de la Côte d`Ivoire et dans la zone frontalière, et à propos des mouvements transfrontaliers d`éléments armés, dont des milices et des mercenaires", souligne la déclaration du Conseil.
Ils demandent au gouvernement de Côte d`Ivoire de "coopérer avec toutes les parties concernées pour identifier et poursuivre en justice les responsables de cette attaque".
Ils "réitèrent leur soutien total" à l`Onuci (Opération de l`ONU en Côte d`Ivoire).
Dans un communiqué, le secrétaire général de l`ONU Ban Ki-moon s`est aussi déclaré "particulièrement inquiet de linstabilité dans la zone frontalière entre la Côte dIvoire et le Liberia depuis la période post-électorale, et qui a entraîné la mort de nombreuses personnes dans la région".
Il a "exhorté le gouvernement de Côte dIvoire à faire tout son possible pour identifier les responsables et prendre toutes les mesures nécessaires afin quils répondent de leurs actes".
Sept Casques bleus nigériens de l`Onuci ont été tués vendredi dans une embuscade dans l`ouest du pays, menée selon le gouvernement ivoirien par des assaillants venus du Liberia.
Il s`agit de "la première attaque de ce genre" contre l`Onuci, présente dans le pays depuis 2004 et comptant quelque 11.000 éléments (Casques bleus, policiers et employés civils), a souligné un porte-parole de l`Onuci.
Région de loin la plus instable de Côte d`Ivoire, tiraillée par des tensions ethniques sur fond de conflits fonciers, l`Ouest a été la zone la plus meurtrie durant la crise politico-militaire de décembre 2010-avril 2011, qui a fait quelque 3.000 morts à travers le pays.
Elle est depuis lors en proie à des attaques meurtrières et constitue un défi sécuritaire majeur pour le gouvernement du président ivoirien Alassane Ouattara.