CONAKRY- Les dirigeants de la Guinée, Alpha Condé, et
du Niger, Mahamadou Issoufou ont "fermement condamné" samedi l`attaque
meurtrière perpétrée la veille contre des Casques bleus nigériens en Côte
d`Ivoire, à la frontière libérienne, selon une déclaration conjointe sur les
médias d`Etat.
"Les deux chefs d`Etat ont exprimé leur préoccupation face aux incursions
dhommes armés aux frontières Sud-Ouest de la Côte dIvoire et ont fermement
condamné lembuscade ayant conduit à la mort de Casques bleus nigériens de
lONUCI", l`Opération des Nations-unies en Côte d`Ivoire, selon cette
déclaration lue par le ministre guinéen des Affaires étrangères et des
Guinéens de létranger, Dr Edouard Niankoye Lamah.
La Guinée et le Liberia sont frontaliers de la Côte d`Ivoire.
Le président nigérien, arrivé samedi en Guinée pour une visite d`Etat, doit
quitter Conakry dimanche.
Sept Casques bleus nigériens, huit civils et au moins un militaire ivoirien
ont été tués vendredi dans une attaque contre des villages ivoiriens proches
de la frontière. Le gouvernement ivoirien a accusé des assaillants "venus du
Liberia".
du Niger, Mahamadou Issoufou ont "fermement condamné" samedi l`attaque
meurtrière perpétrée la veille contre des Casques bleus nigériens en Côte
d`Ivoire, à la frontière libérienne, selon une déclaration conjointe sur les
médias d`Etat.
"Les deux chefs d`Etat ont exprimé leur préoccupation face aux incursions
dhommes armés aux frontières Sud-Ouest de la Côte dIvoire et ont fermement
condamné lembuscade ayant conduit à la mort de Casques bleus nigériens de
lONUCI", l`Opération des Nations-unies en Côte d`Ivoire, selon cette
déclaration lue par le ministre guinéen des Affaires étrangères et des
Guinéens de létranger, Dr Edouard Niankoye Lamah.
La Guinée et le Liberia sont frontaliers de la Côte d`Ivoire.
Le président nigérien, arrivé samedi en Guinée pour une visite d`Etat, doit
quitter Conakry dimanche.
Sept Casques bleus nigériens, huit civils et au moins un militaire ivoirien
ont été tués vendredi dans une attaque contre des villages ivoiriens proches
de la frontière. Le gouvernement ivoirien a accusé des assaillants "venus du
Liberia".