Quatre civils ont été tués en début de semaine dans le sud-ouest de la Côte d`Ivoire, a annoncé mercredi l`ONU, quelques jours après un assaut ayant fait au moins 18 morts, dont sept Casques bleus, dans cette région frontalière du Liberia.
Après ces nouvelles attaques menées au sud de la ville de Taï par des "assaillants non identifiés", "le bilan provisoire est de quatre morts et trois blessés parmi les civils. Deux personnes seraient également portées disparues", a déclaré à l`AFP Sylvie van den Wildenberg, porte-parole de l`Opération des Nations unies en Côte d`Ivoire (Onuci).
"Nos troupes sont sur le terrain et ont renforcé leur dispositif de sécurisation des populations", a-t-elle ajouté.
Selon le Bureau des Nations unies pour la coordination des Affaires humanitaires (Ocha), ces attaques, survenues lundi et mardi dans les villages de Tiero-Oula et Sieblo-Oula, ont porté à "environ 5.000" le nombre de personnes déplacées dans cette région en proie à des attaques meurtrières depuis un an et difficile d`accès.
"A ce jour, les acteurs humanitaires estiment à environ 5.000 le nombre de personnes déplacées, dont une majorité de femmes et d`enfants dont la situation demeure précaire", indique l`agence dans un communiqué.
La plupart des déplacés, arrivés en majorité à Taï, sont hébergés dans des familles d`accueil.
Sept Casques bleus nigériens, dix civils et au moins un militaire ivoirien ont été tués le 8 juin dans une attaque contre des villages au sud de Taï, attribuée par le gouvernement ivoirien à des éléments "venus du Liberia". Le gouvernement libérien avait annoncé le lendemain la fermeture de sa frontière.
Après ces nouvelles attaques menées au sud de la ville de Taï par des "assaillants non identifiés", "le bilan provisoire est de quatre morts et trois blessés parmi les civils. Deux personnes seraient également portées disparues", a déclaré à l`AFP Sylvie van den Wildenberg, porte-parole de l`Opération des Nations unies en Côte d`Ivoire (Onuci).
"Nos troupes sont sur le terrain et ont renforcé leur dispositif de sécurisation des populations", a-t-elle ajouté.
Selon le Bureau des Nations unies pour la coordination des Affaires humanitaires (Ocha), ces attaques, survenues lundi et mardi dans les villages de Tiero-Oula et Sieblo-Oula, ont porté à "environ 5.000" le nombre de personnes déplacées dans cette région en proie à des attaques meurtrières depuis un an et difficile d`accès.
"A ce jour, les acteurs humanitaires estiment à environ 5.000 le nombre de personnes déplacées, dont une majorité de femmes et d`enfants dont la situation demeure précaire", indique l`agence dans un communiqué.
La plupart des déplacés, arrivés en majorité à Taï, sont hébergés dans des familles d`accueil.
Sept Casques bleus nigériens, dix civils et au moins un militaire ivoirien ont été tués le 8 juin dans une attaque contre des villages au sud de Taï, attribuée par le gouvernement ivoirien à des éléments "venus du Liberia". Le gouvernement libérien avait annoncé le lendemain la fermeture de sa frontière.