ABIDJAN - Les ex-combattants de la région ouest de la Côte d'Ivoire, qui avaient participé aux affrontements armés au plus fort de la crise, ont commencé à déposer les armes de guerre, a appris Xinhua lundi auprès de la Commission nationale de lutte contre les armes légères et de petit calibre (COMNAT-ALPC) .
L'opération de collecte d'armes qui a débuté par la localité de Danané a permis à plus d'une soixantaine de détenteurs illicites d'armes et de munitions de mettre à la disposition des autorités.
Selon les responsables de la COMNAT-ALPC, les armes réceptionnées sont essentiellement composées de fusils calibres 12, de kalachnikov, de grenades et de pistolets automatiques.
La Commission a poursuivi son opération lundi à Guiglo (ouest) avec une phase de sensibilisation visant à amener les populations détentrices d'armes à les rendre de manière volontaire.
Lors de cette opération de sensibilisation, le secrétaire de la sous-commission Opération-Sécurité de la COMNAT-ALPC, le commissaire Léon Djokouéhi a rassuré les ex-combattants qu'il n'y aura pas de représailles à leur encontre après les dépôts, et expliqué que ceux-ci bénéficieront de cartes de démobilisés utiles pour leur réinsertion dans le tissu socio-économique.
L'opération de dépôt volontaire d'armes qui a instaurée par les autorités sécuritaires ivoiriennes pour lutter contre la prolifération des armes et l'insécurité post-crise bénéficie de l'appui de plusieurs partenaires dont l'Opération des Nations- Unies en Côte d'Ivoire (ONUCI).
Des séances similaires se sont déjà déroulées dans des communes d'Abidjan et dans plusieurs villes du pays.
A ce jour, plus de 2.000 ex-combattants ont déposé volontairement environ 1.500 armes et plus de 50.000 munitions.
L'ouest ivoirien est la région du pays qui a payé un lourd tribut à la crise post-électorale, avec les affrontements sanglants qui ont opposé les belligérants pro-Gbagbo et pro- Ouattara.
L'opération de collecte d'armes qui a débuté par la localité de Danané a permis à plus d'une soixantaine de détenteurs illicites d'armes et de munitions de mettre à la disposition des autorités.
Selon les responsables de la COMNAT-ALPC, les armes réceptionnées sont essentiellement composées de fusils calibres 12, de kalachnikov, de grenades et de pistolets automatiques.
La Commission a poursuivi son opération lundi à Guiglo (ouest) avec une phase de sensibilisation visant à amener les populations détentrices d'armes à les rendre de manière volontaire.
Lors de cette opération de sensibilisation, le secrétaire de la sous-commission Opération-Sécurité de la COMNAT-ALPC, le commissaire Léon Djokouéhi a rassuré les ex-combattants qu'il n'y aura pas de représailles à leur encontre après les dépôts, et expliqué que ceux-ci bénéficieront de cartes de démobilisés utiles pour leur réinsertion dans le tissu socio-économique.
L'opération de dépôt volontaire d'armes qui a instaurée par les autorités sécuritaires ivoiriennes pour lutter contre la prolifération des armes et l'insécurité post-crise bénéficie de l'appui de plusieurs partenaires dont l'Opération des Nations- Unies en Côte d'Ivoire (ONUCI).
Des séances similaires se sont déjà déroulées dans des communes d'Abidjan et dans plusieurs villes du pays.
A ce jour, plus de 2.000 ex-combattants ont déposé volontairement environ 1.500 armes et plus de 50.000 munitions.
L'ouest ivoirien est la région du pays qui a payé un lourd tribut à la crise post-électorale, avec les affrontements sanglants qui ont opposé les belligérants pro-Gbagbo et pro- Ouattara.