AAbidjan, Il faut rester "vigilent" après "les tragiques événements" dans l’ouest de la Côte d’Ivoire, estime l’ambassadeur de France en côte d’ivoire, Georges Serre, quelque deux semaines après une attaque perpétrée par des "mercenaires libériens et miliciens ivoiriens" à Taï, une localité de cette région du pays, qui a fait au moins 18 morts.
"Les tragiques événements de l’ouest du pays montrent qu’il faut rester vigilant", a relevé, mercredi, M. Serre, lors d’une cérémonie de remise d’équipement de la France aux forces armées et de sécurité ivoiriennes, à l’école de police d’Abidjan.
Le gouvernement français, a-t-il dit, "est bien convaincu que la Côte d’Ivoire a besoin de forces de sécurité intérieure et de sécurité civile performantes et motivées au service de leurs compatriotes".
Ces derniers temps, la région ouest de la Côte d’Ivoire est confrontée à une vague de violences perpétrées par des mercenaires libériens ainsi que des miliciens ayant combattu aux côtés des forces proches de l’ex-chef de l’Etat ivoirien, Laurent Gbagbo.
Ces violences ont fait, à ce jour, une soixantaine de morts et de nombreux blessés, parmi les populations civiles et les forces républicaines de Côte d’Ivoire, ainsi que les casques bleus de l’Onu dont un détachement a été victime d’une embuscade, le 8 juin, et qui a fait sept morts dans ses leurs rangs.
Dimanche dernier, une attaque d’assaillants à Déhiba, dans le département de Duékoué, a fait deux morts, de nombreux blessés dont trois grièvement.
(AIP)
"Les tragiques événements de l’ouest du pays montrent qu’il faut rester vigilant", a relevé, mercredi, M. Serre, lors d’une cérémonie de remise d’équipement de la France aux forces armées et de sécurité ivoiriennes, à l’école de police d’Abidjan.
Le gouvernement français, a-t-il dit, "est bien convaincu que la Côte d’Ivoire a besoin de forces de sécurité intérieure et de sécurité civile performantes et motivées au service de leurs compatriotes".
Ces derniers temps, la région ouest de la Côte d’Ivoire est confrontée à une vague de violences perpétrées par des mercenaires libériens ainsi que des miliciens ayant combattu aux côtés des forces proches de l’ex-chef de l’Etat ivoirien, Laurent Gbagbo.
Ces violences ont fait, à ce jour, une soixantaine de morts et de nombreux blessés, parmi les populations civiles et les forces républicaines de Côte d’Ivoire, ainsi que les casques bleus de l’Onu dont un détachement a été victime d’une embuscade, le 8 juin, et qui a fait sept morts dans ses leurs rangs.
Dimanche dernier, une attaque d’assaillants à Déhiba, dans le département de Duékoué, a fait deux morts, de nombreux blessés dont trois grièvement.
(AIP)