Le Front populaire Ivoirien, ce qu’on doit retenir de ce parti politique c’est qu’il est barbare et n’a aucun état d’âme. Nul n’ignore que le Fpi aura contribué fortement à la désolation dans beaucoup de familles en Côte d’Ivoire. Depuis sa création, le Fpi n’a fait que et continue de fragiliser la cohésion sociale en Côte d’Ivoire, en érigeant comme mode de gouvernance le mépris des autres, la haine de l’étranger et l’enrichissement illicite. Ces grands thèmes sont tout le temps reformulés d’une certaine manière, diffusés et largement entretenus toujours dans leurs déclarations liminaires. En effet, le Fpi utilise l’intoxication pour divertir ses militants en entretenant le flou dans leur esprit. Il faut avoir une cécité politique pour croire à ces balivernes.
Un parti politique est crée pour la conquête du pouvoir d’Etat en utilisant les méthodes constitutionnelles et démocratiques. Que Diantre ! Le Fpi fait fi de cela et s’adonne toujours à des stratagèmes couronnés de violence comme cela fut le cas en l’an 2000. A cet effet, Il accéda au pouvoir en enjambant les corps des ivoiriens ?
Un régime autocrate venait d’être mis en place nous servant des litanies religieuses, en lieu et place des discours politiques de bonne gouvernance, oubliant ainsi la laïcité de la Côte d’Ivoire. Dix ans de règne éclaboussés par de multiples méfaits : escadron de la mort, déchets toxiques, et scandale dans la filière café-cacao…, dix ans de désolation et de pauvreté ! Le peuple n’a pas dit mot, même s’il laissa le Fpi gouverner en lui accordant un mandat supplémentaire (2005-2010). Il l’attendait patiemment afin de lui infliger la sentence démocratique fatale à travers les urnes en novembre 2010. C’est ainsi que la voix de la démocratie a triomphé sur le mensonge. Le Fpi étant aux antipodes de reconquête du pouvoir d’Etat , continue d’utiliser toutes sortes de subterfuges en s’adonnant à des actes de sabotage, de chantage et de diabolisation de la classe politique dirigeante.
Le Fpi, qui se veut sérieux dont la vie ne rime qu’avec le mensonge, la diversion et la désolation. Il faut que les militants du Fpi comprenne une chose que la préoccupation réelle de ses dirigeants est la satisfaction de leurs besoins pécuniaires. Foutaise ! Sinon, comment comprendre qu’ayant perdu l’élection présidentielle en Côte d’ Ivoire, le Fpi voulait confisquer coûte que coûte le pouvoir d’Etat afin de préserver les intérêts mesquins de sa classe dirigeante au détriment du peuple. Et cela aura entrainé la mort de milliers de nos compatriotes, pour une simple question changement de régime. En quoi l’alternative politique est elle un mal dans un jeu démocratique (?) pouvant entrainer de milliers de morts.
Il faut que le Fpi reconnaisse avec diligence ses méthodes machiavéliques, qui ont endeuillées des familles ivoiriennes. Avant d’entamer toute action politique, le Fpi devrait faire son mea culpa en s’inscrivant dans le processus de réconciliation nationale. Aussi, par la reconnaissance de la victoire d’Alassane Ouattara et en l’acceptant comme le Président de la République de la Côte d’Ivoire. Cette démarche serait perçue comme un acte hautement politique favorisant la consolidation de la cohésion sociale et au retour à la paix.
Certes, la Côte d’Ivoire souhaite retrouver la paix. Cependant, elle aura besoin que celles ou ceux qui à un certain moment donné dans leur fantasme ou agissement politique ayant contribué fortement à la fragilisation du tissu social entrainant la perte en vie humaine, doivent simplement reconnaitre leurs fautes et demandez humblement pardon aux ivoiriens. Ne dit-on pas qu’une faute reconnue est à moitié pardonnée. Sans cela, la Côte d’Ivoire ne saurait être vue comme étant le pays de dialogue, de paix et d’hospitalité.
Fofana Yaya
Un parti politique est crée pour la conquête du pouvoir d’Etat en utilisant les méthodes constitutionnelles et démocratiques. Que Diantre ! Le Fpi fait fi de cela et s’adonne toujours à des stratagèmes couronnés de violence comme cela fut le cas en l’an 2000. A cet effet, Il accéda au pouvoir en enjambant les corps des ivoiriens ?
Un régime autocrate venait d’être mis en place nous servant des litanies religieuses, en lieu et place des discours politiques de bonne gouvernance, oubliant ainsi la laïcité de la Côte d’Ivoire. Dix ans de règne éclaboussés par de multiples méfaits : escadron de la mort, déchets toxiques, et scandale dans la filière café-cacao…, dix ans de désolation et de pauvreté ! Le peuple n’a pas dit mot, même s’il laissa le Fpi gouverner en lui accordant un mandat supplémentaire (2005-2010). Il l’attendait patiemment afin de lui infliger la sentence démocratique fatale à travers les urnes en novembre 2010. C’est ainsi que la voix de la démocratie a triomphé sur le mensonge. Le Fpi étant aux antipodes de reconquête du pouvoir d’Etat , continue d’utiliser toutes sortes de subterfuges en s’adonnant à des actes de sabotage, de chantage et de diabolisation de la classe politique dirigeante.
Le Fpi, qui se veut sérieux dont la vie ne rime qu’avec le mensonge, la diversion et la désolation. Il faut que les militants du Fpi comprenne une chose que la préoccupation réelle de ses dirigeants est la satisfaction de leurs besoins pécuniaires. Foutaise ! Sinon, comment comprendre qu’ayant perdu l’élection présidentielle en Côte d’ Ivoire, le Fpi voulait confisquer coûte que coûte le pouvoir d’Etat afin de préserver les intérêts mesquins de sa classe dirigeante au détriment du peuple. Et cela aura entrainé la mort de milliers de nos compatriotes, pour une simple question changement de régime. En quoi l’alternative politique est elle un mal dans un jeu démocratique (?) pouvant entrainer de milliers de morts.
Il faut que le Fpi reconnaisse avec diligence ses méthodes machiavéliques, qui ont endeuillées des familles ivoiriennes. Avant d’entamer toute action politique, le Fpi devrait faire son mea culpa en s’inscrivant dans le processus de réconciliation nationale. Aussi, par la reconnaissance de la victoire d’Alassane Ouattara et en l’acceptant comme le Président de la République de la Côte d’Ivoire. Cette démarche serait perçue comme un acte hautement politique favorisant la consolidation de la cohésion sociale et au retour à la paix.
Certes, la Côte d’Ivoire souhaite retrouver la paix. Cependant, elle aura besoin que celles ou ceux qui à un certain moment donné dans leur fantasme ou agissement politique ayant contribué fortement à la fragilisation du tissu social entrainant la perte en vie humaine, doivent simplement reconnaitre leurs fautes et demandez humblement pardon aux ivoiriens. Ne dit-on pas qu’une faute reconnue est à moitié pardonnée. Sans cela, la Côte d’Ivoire ne saurait être vue comme étant le pays de dialogue, de paix et d’hospitalité.
Fofana Yaya