Charles Blé Goudé a fait une déclaration ce jeudi 21 juin, dans laquelle il a tenu à être clair quant à son retour sur le sol ivoirien. Pour lui, celui-ci ne sera motivé que par le respect de certaines conditions. Celui qui a à son actif deux mandats d’arrêts internationaux a décidé de privilégier une voix autre que celle de la fermeté. Le président du Congrès panafricain des jeunes patriotes (Cojep) a tenu à préciser qu’il « n’est pas un putschiste, pas un criminel ». Cette sortie est-elle la preuve qu’il veut intégrer la nouvelle donne politique ? Quoi qu’il en soit, l’ex-ministre de la Jeunesse sous Gbagbo a dit qu’il laisse la latitude aux autorités de choisir la voie qu'elles pensent être juste « pour rapprocher les Ivoiriens.
Si elles pensent que je peux servir, j'attends d'être contacté », a-t-il ajouté. Par ailleurs, relativement aux conditions de son retour, il a affirmé que « la condition de mon retour, c'est une amnistie. La condition de mon retour, c'est que la traque contre tous mes proches puisse s'arrêter. Je ne suis pas un criminel en fuite », a-t-il affirmé. Quant aux rumeurs relatives aux enquêtes de la Cour pénale internationale, il a tenu à préciser que « si demain la CPI estime que ma présence à La Haye peut permettre que la vérité éclate, moi, je ne fuis pas La Haye. Je suis prêt à me présenter à La Haye, parce qu'il faut qu'on sache, en Côte d'Ivoire, qui a fait quoi ».
R.K
Si elles pensent que je peux servir, j'attends d'être contacté », a-t-il ajouté. Par ailleurs, relativement aux conditions de son retour, il a affirmé que « la condition de mon retour, c'est une amnistie. La condition de mon retour, c'est que la traque contre tous mes proches puisse s'arrêter. Je ne suis pas un criminel en fuite », a-t-il affirmé. Quant aux rumeurs relatives aux enquêtes de la Cour pénale internationale, il a tenu à préciser que « si demain la CPI estime que ma présence à La Haye peut permettre que la vérité éclate, moi, je ne fuis pas La Haye. Je suis prêt à me présenter à La Haye, parce qu'il faut qu'on sache, en Côte d'Ivoire, qui a fait quoi ».
R.K