Guiglo -Les autorités libériennes ont remis, ce samedi, à Pékan-Barrage, sous-préfecture de Tiobly (département de Toulépleu, ouest) aux autorités policières ivoiriennes les 41 mercenaires présumés impliqués dans les violences postélectorales et en arrestation depuis quelques mois dans ce pays.
Cette cérémonie de remise s’est effectuée en présence des autorités militaires et policières de l’Opération des Nations unies en Côte d’Ivoire, a-t-on noté.
La présidente du Libéria, Ellen Johnson Sirleaf, a promis, lors du sommet des chefs d’Etat et de gouvernement de l’Union du fleuve du Mano, le 17 juin à Conakry, des "surprises dans les jours et semaines à venir" à son homologue, Alassane Ouattara, qui avait insisté à ce sommet sur la nécessité pour les dirigeants de la sous-région de prendre des "mesures très fermes" sur la question d’insécurité en Afrique de l’ouest.
En réponse, le chef de l’Etat ivoirien a été assuré par les pays membres de la CEDEAO de "l’extradition de toutes les personnes impliquées de manière directe ou indirecte dans les actions de déstabilisation de la Côte d’Ivoire et faisant l’objet de mandats d’arrêts pour crimes économiques ou de sang", avait mentionné le département communication de la présidence dans sa note d’information dont l’AIP a reçu copie.
(AIP)
Tt/kp
Cette cérémonie de remise s’est effectuée en présence des autorités militaires et policières de l’Opération des Nations unies en Côte d’Ivoire, a-t-on noté.
La présidente du Libéria, Ellen Johnson Sirleaf, a promis, lors du sommet des chefs d’Etat et de gouvernement de l’Union du fleuve du Mano, le 17 juin à Conakry, des "surprises dans les jours et semaines à venir" à son homologue, Alassane Ouattara, qui avait insisté à ce sommet sur la nécessité pour les dirigeants de la sous-région de prendre des "mesures très fermes" sur la question d’insécurité en Afrique de l’ouest.
En réponse, le chef de l’Etat ivoirien a été assuré par les pays membres de la CEDEAO de "l’extradition de toutes les personnes impliquées de manière directe ou indirecte dans les actions de déstabilisation de la Côte d’Ivoire et faisant l’objet de mandats d’arrêts pour crimes économiques ou de sang", avait mentionné le département communication de la présidence dans sa note d’information dont l’AIP a reçu copie.
(AIP)
Tt/kp