officielle en Israël du 16 au 20 juin dernier, Jean Kacou Diagou président du patronat ivoirien a voulu se prêter à nos questions.
Que peut-on retenir de cette visite officielle qui a pris des allures de visite d’Etat?
Je suis venu accompagner le chef de l’Etat pour cette visite officielle qui nous a permis de rencontrer des hommes d’affaires Israéliens. Et dans la rencontre, il a été convenu qu’ils viennent à Abidjan au début du mois de juillet afin de faire connaissance avec les hommes d’affaires Ivoiriens et s’informer sur la réalité économique des besoins de la Côte d’Ivoire. Notre pays a de nombreux besoins aujourd’hui pour la relance économique pour accélérer le développement. Je crois que l’arrivée du chef de l’Etat, Alassane Ouattara en Israël, a été un déclic qui permettra aux investisseurs de venir nous soutenir dans ce développement. Je leur ai dit que la Côte d’ivoire est à un tournant de son histoire. Un tournant qui va entraîner l’accélération du développement de la Côte d’Ivoire qui a de nombreux chantiers et opportunités dans tous les domaines. Les investisseurs sont donc les bienvenus et nous les attendons en Côte d’Ivoire. Le patronat ivoirien sera là pour les accompagner avec le CEPICI.
Avez-vous senti l’engagement des Israéliens à se bousculer aux portes de la Côte d’Ivoire?
Nous avons senti un engouement certain parce que le président de la Chambre de commerce et d’industrie d’Israël, M. Federmann qui est un vieil ami de la Côte d’Ivoire a promis de venir avec un certain nombre d’hommes d’affaires Israéliens en Côte d’Ivoire à partir du 7 juillet prochain. Donc, je crois que c’est déjà un bon signe qui montre l’intérêt que les hommes d’affaires israéliens ont pour notre pays.
Quels sont les secteurs qui intéressent les hommes d’affaires Israéliens?
Tous les secteurs intéressent nos amis. Mais je commence par l’immobilier, l’énergie, parce que nous avons appris qu’il y a un groupe qui va installer une centrale énergétique qui va donner de 350 à 375 mégawatts. Ceci va aider la Côte d’Ivoire à être auto-suffisante. Et c’est une centrale qui va être construite en un temps record puisque pour ce que nous savons en 18 mois, la centrale sera montée. C’est vous dire qu’il y a de l’engouement. La Côte d’Ivoire est un pays qui a toujours été ami d’Israël et vice-versa. Aujourd’hui, nous avons besoin d’accélérer le développement. Et je crois que nous sommes bien heureux car les Israéliens sont des hommes d’affaires assez riches qui peuvent nous accompagner.
Le chef de l’Etat a-t-il eu une équation personnelle à jouer dans ce retour des Israéliens en Côte d’Ivoire?
Oui, l’équation du président Alassane Ouattara permet de rassurer, car notre Président a beaucoup d’amis parmi les hommes d’affaires Israéliens. Il connait parfaitement le président Peres. Le Gouverneur de la Banque centrale d’Israël, Pr. Stanley Fischer, M. Federmann et bien d’autres admirent le président Ouattara. Et dès son arrivée, le président Alassane Ouattara a multiplié les rencontres avec les hommes avec qui il a noué de très bonnes relations pour la Côte d’Ivoire.
Interview réalisée à Jérusalem par Charles Sanga
Que peut-on retenir de cette visite officielle qui a pris des allures de visite d’Etat?
Je suis venu accompagner le chef de l’Etat pour cette visite officielle qui nous a permis de rencontrer des hommes d’affaires Israéliens. Et dans la rencontre, il a été convenu qu’ils viennent à Abidjan au début du mois de juillet afin de faire connaissance avec les hommes d’affaires Ivoiriens et s’informer sur la réalité économique des besoins de la Côte d’Ivoire. Notre pays a de nombreux besoins aujourd’hui pour la relance économique pour accélérer le développement. Je crois que l’arrivée du chef de l’Etat, Alassane Ouattara en Israël, a été un déclic qui permettra aux investisseurs de venir nous soutenir dans ce développement. Je leur ai dit que la Côte d’ivoire est à un tournant de son histoire. Un tournant qui va entraîner l’accélération du développement de la Côte d’Ivoire qui a de nombreux chantiers et opportunités dans tous les domaines. Les investisseurs sont donc les bienvenus et nous les attendons en Côte d’Ivoire. Le patronat ivoirien sera là pour les accompagner avec le CEPICI.
Avez-vous senti l’engagement des Israéliens à se bousculer aux portes de la Côte d’Ivoire?
Nous avons senti un engouement certain parce que le président de la Chambre de commerce et d’industrie d’Israël, M. Federmann qui est un vieil ami de la Côte d’Ivoire a promis de venir avec un certain nombre d’hommes d’affaires Israéliens en Côte d’Ivoire à partir du 7 juillet prochain. Donc, je crois que c’est déjà un bon signe qui montre l’intérêt que les hommes d’affaires israéliens ont pour notre pays.
Quels sont les secteurs qui intéressent les hommes d’affaires Israéliens?
Tous les secteurs intéressent nos amis. Mais je commence par l’immobilier, l’énergie, parce que nous avons appris qu’il y a un groupe qui va installer une centrale énergétique qui va donner de 350 à 375 mégawatts. Ceci va aider la Côte d’Ivoire à être auto-suffisante. Et c’est une centrale qui va être construite en un temps record puisque pour ce que nous savons en 18 mois, la centrale sera montée. C’est vous dire qu’il y a de l’engouement. La Côte d’Ivoire est un pays qui a toujours été ami d’Israël et vice-versa. Aujourd’hui, nous avons besoin d’accélérer le développement. Et je crois que nous sommes bien heureux car les Israéliens sont des hommes d’affaires assez riches qui peuvent nous accompagner.
Le chef de l’Etat a-t-il eu une équation personnelle à jouer dans ce retour des Israéliens en Côte d’Ivoire?
Oui, l’équation du président Alassane Ouattara permet de rassurer, car notre Président a beaucoup d’amis parmi les hommes d’affaires Israéliens. Il connait parfaitement le président Peres. Le Gouverneur de la Banque centrale d’Israël, Pr. Stanley Fischer, M. Federmann et bien d’autres admirent le président Ouattara. Et dès son arrivée, le président Alassane Ouattara a multiplié les rencontres avec les hommes avec qui il a noué de très bonnes relations pour la Côte d’Ivoire.
Interview réalisée à Jérusalem par Charles Sanga