Gagnoa – Le bureau du Comité international de la Croix rouge (CICR) de Gagnoa a dévoilé jeudi le nouveau projet du CICR, ‘’Soins de santé en danger’’, à des agents de la Croix rouge locale, des membres du personnel médical des services de santé, des professionnels de l’information.
Le bureau leur a demandé leur contribution pour réunir dans le cadre de ce projet des données d’information sur les entraves au libre accès des populations aux soins médicaux dans les structures de santé.
Les données que vont recueillir les personnes sollicitées vont permettre au CICR de mener le travail d’information et d’éducation des populations, le lobbying auprès des parties concernées, afin de favoriser l’accès des populations aux soins de santé.
« Il n’y a pas de raison pour que quelqu’un qui est blessé ou malade n’ait pas accès aux soins de santé. Il faut pouvoir garantir à toute personne de pouvoir avoir accès aux soins de santé, même si elle combattait mais n’est plus combattante, car c’est une question de vie ou de mort », a expliqué le chef de bureau du CICR de Gagnoa, Hyacinthe Gbla, précisant l’objectif visé par l’organisation à travers ce projet, ‘’Soins de santé en danger (ou Health’s Cure danger)’’.
Selon M. Gbla, par ce projet le CICR veut éviter qu’il y ait des obstacles à l’accès de l’ensemble des populations aux structures sanitaires en toutes périodes et particulièrement dans toutes les situations de violence, de guerre, de tension.
Il a, avec le chargé de communication de la délégation Ouest du CICR, Sahouré Barthélemy, souligné qu’il s’agit de toutes les situations où le personnel de santé ne peut pas travailler convenablement, les malades ne peuvent pas accéder aux centres de santé, le matériel sanitaire est en danger et où les moyens de transport (ambulances et autres) sont empêchés de circuler.
Le projet ‘’Soins de santé en danger’’ a été décidé par le CICR au plan international en 2011 et dans lequel une vingtaine de pays en situation d’instabilité dans le monde et en Afrique, dont la Côte d’Ivoire, est impliquée. En Côte d’Ivoire, a confié Hyacinthe Gbla, le bureau régional de Gagnoa est le premier à exécuter ce projet.
Le bureau leur a demandé leur contribution pour réunir dans le cadre de ce projet des données d’information sur les entraves au libre accès des populations aux soins médicaux dans les structures de santé.
Les données que vont recueillir les personnes sollicitées vont permettre au CICR de mener le travail d’information et d’éducation des populations, le lobbying auprès des parties concernées, afin de favoriser l’accès des populations aux soins de santé.
« Il n’y a pas de raison pour que quelqu’un qui est blessé ou malade n’ait pas accès aux soins de santé. Il faut pouvoir garantir à toute personne de pouvoir avoir accès aux soins de santé, même si elle combattait mais n’est plus combattante, car c’est une question de vie ou de mort », a expliqué le chef de bureau du CICR de Gagnoa, Hyacinthe Gbla, précisant l’objectif visé par l’organisation à travers ce projet, ‘’Soins de santé en danger (ou Health’s Cure danger)’’.
Selon M. Gbla, par ce projet le CICR veut éviter qu’il y ait des obstacles à l’accès de l’ensemble des populations aux structures sanitaires en toutes périodes et particulièrement dans toutes les situations de violence, de guerre, de tension.
Il a, avec le chargé de communication de la délégation Ouest du CICR, Sahouré Barthélemy, souligné qu’il s’agit de toutes les situations où le personnel de santé ne peut pas travailler convenablement, les malades ne peuvent pas accéder aux centres de santé, le matériel sanitaire est en danger et où les moyens de transport (ambulances et autres) sont empêchés de circuler.
Le projet ‘’Soins de santé en danger’’ a été décidé par le CICR au plan international en 2011 et dans lequel une vingtaine de pays en situation d’instabilité dans le monde et en Afrique, dont la Côte d’Ivoire, est impliquée. En Côte d’Ivoire, a confié Hyacinthe Gbla, le bureau régional de Gagnoa est le premier à exécuter ce projet.