Bouaflé – Le médecin-chef du Service de santé scolaire et universitaire (SSSU) de Bouaflé, Koffi Charles, a demandé, mardi, à la population d’éviter la pratique de l’automédication dans le traitement du paludisme.
Dr Koffi Charles a fait cette déclaration lors d’une conférence sur le paludisme prononcée à l’occasion de la journée de l’excellence célébrée au lycée moderne 1 de Bouaflé.
Il a conseillé à la population de se rendre directement à l’hôpital pour faire des tests de dépistage rapide qui permettront de détecter l’existence ou pas de la maladie.
"Si vous avez de la fièvre, des courbatures, diarrhées ou encore la constipation, il vaut mieux se rendre à l’hôpital car, ces symptômes peuvent ressembler à la méningite ou à la fièvre typhoïde", a-t-il expliqué.
Pour Koffi Charles, l’automédication qui a pour but de se traiter sans l’avis d’un professionnel, complique la tâche du praticien.
"Si vous ne dites pas au médecin que vous avez déjà fait un traitement, celui-ci va vous administrer des médicaments qui, au lieu de vous soigner, peuvent être préjudiciables pour votre santé", a-t-il fait savoir, expliquant que c’est une des causes des conflits entre patients et médecins.
Outre les médicaments, Dr Koffi Charles a indiqué que les moyens de prévention contre le paludisme existent, notamment la moustiquaire imprégnée et un environnement sain qui évite la prolifération des moustiques.
Koffi Charles a expliqué que le paludisme, maladie parasitaire transmise par un moustique appelé anophèle, fait plus de victimes que le VIH/Sida.
"Sur dix malades que nous recevons, sept souffrent en général du paludisme, ce qui est grave", a-t-il prévenu.
A la fin de la conférence, une démonstration d’installation de la moustiquaire imprégnée a été faite par les élèves du club santé du lycée1.
Dr Koffi Charles a fait cette déclaration lors d’une conférence sur le paludisme prononcée à l’occasion de la journée de l’excellence célébrée au lycée moderne 1 de Bouaflé.
Il a conseillé à la population de se rendre directement à l’hôpital pour faire des tests de dépistage rapide qui permettront de détecter l’existence ou pas de la maladie.
"Si vous avez de la fièvre, des courbatures, diarrhées ou encore la constipation, il vaut mieux se rendre à l’hôpital car, ces symptômes peuvent ressembler à la méningite ou à la fièvre typhoïde", a-t-il expliqué.
Pour Koffi Charles, l’automédication qui a pour but de se traiter sans l’avis d’un professionnel, complique la tâche du praticien.
"Si vous ne dites pas au médecin que vous avez déjà fait un traitement, celui-ci va vous administrer des médicaments qui, au lieu de vous soigner, peuvent être préjudiciables pour votre santé", a-t-il fait savoir, expliquant que c’est une des causes des conflits entre patients et médecins.
Outre les médicaments, Dr Koffi Charles a indiqué que les moyens de prévention contre le paludisme existent, notamment la moustiquaire imprégnée et un environnement sain qui évite la prolifération des moustiques.
Koffi Charles a expliqué que le paludisme, maladie parasitaire transmise par un moustique appelé anophèle, fait plus de victimes que le VIH/Sida.
"Sur dix malades que nous recevons, sept souffrent en général du paludisme, ce qui est grave", a-t-il prévenu.
A la fin de la conférence, une démonstration d’installation de la moustiquaire imprégnée a été faite par les élèves du club santé du lycée1.