Washington – L’agence multilatérale de garantie des investissements (MIGA), l’institution du Groupe de la Banque mondiale, qui fournit des services d’assurance contre les risques politiques, a annoncé qu’elle soutient la construction et le fonctionnement en Côte-d’Ivoire du pont à péage Henri Konan Bédié et de ses routes d’accès. Le nouveau pont va réduire considérablement la durée des trajets, améliorer la mobilité générale et soulager la congestion chronique de la circulation à Abidjan. Le projet aura également un important effet d’émulation pour d’autres initiatives du secteur privé dans un pays qui a beaucoup souffert de troubles civils graves et prolongés.
Le projet est structuré comme un partenariat public-privé et sera mis en oeuvre dans le cadre d’un accord de concession de construction-exploitation-transfert de trente ans. Il prévoit le financement, la conception, la construction, le fonctionnement et l’entretien du pont sur la lagune Ebrié et des routes d’accès nord et sud entre la zone résidentielle de Riviera et la zone industrielle de Marcory. C’est le premier partenariat public-privé du pays depuis la guerre civile.
La MIGA fournit des garanties d’un montant de 145 millions de dollars couvrant des prises de participation et des créances subordonnées des sociétés Bouygues Travaux Publics (France) et Pan African Infrastructure Development Fund (Afrique du Sud), des créances subordonnées et des créances privilégiées d’Africa Finance Corporation (Nigéria) ainsi que des créances privilégiées de BMCE Bank International PLC (Royaume-Uni) et de FMO (Pays-Bas). La garantie de la MIGA couvre pendant 15 ans les risques d’expropriation, de guerre, de troubles civils, de rupture de contrat et de restriction sur les transferts.
« Les ponts et l’infrastructure d’Abidjan sont soumis à rude épreuve et ne peuvent absorber la circulation croissante de la ville », a déclaré Olivier Bonnin, directeur commercial, Bouygues Travaux publics. « Le gouvernement accorde un degré de priorité très élevé à ce projet et nous sommes heureux de soutenir les efforts de reconstruction de la Côte-d’Ivoire. »
Le projet, originellement lancé en 1996, avait été interrompu par la guerre civile prolongée du pays. « Il est nécessaire de reconstruire l’infrastructure pour restaurer la stabilité et soutenir la croissance prometteuse de la Côte-d’Ivoire », nous dit Michel Wormser, vice-président et chef des opérations, MIGA. « L’aide de la MIGA peut être déterminante pour obtenir la participation du secteur privé dans des environnements où la perception du risque demeure élevée. Ce projet illustre également notre détermination à faciliter les investissements dans les pays fragiles et sortant d’un conflit ».
Le projet est structuré comme un partenariat public-privé et sera mis en oeuvre dans le cadre d’un accord de concession de construction-exploitation-transfert de trente ans. Il prévoit le financement, la conception, la construction, le fonctionnement et l’entretien du pont sur la lagune Ebrié et des routes d’accès nord et sud entre la zone résidentielle de Riviera et la zone industrielle de Marcory. C’est le premier partenariat public-privé du pays depuis la guerre civile.
La MIGA fournit des garanties d’un montant de 145 millions de dollars couvrant des prises de participation et des créances subordonnées des sociétés Bouygues Travaux Publics (France) et Pan African Infrastructure Development Fund (Afrique du Sud), des créances subordonnées et des créances privilégiées d’Africa Finance Corporation (Nigéria) ainsi que des créances privilégiées de BMCE Bank International PLC (Royaume-Uni) et de FMO (Pays-Bas). La garantie de la MIGA couvre pendant 15 ans les risques d’expropriation, de guerre, de troubles civils, de rupture de contrat et de restriction sur les transferts.
« Les ponts et l’infrastructure d’Abidjan sont soumis à rude épreuve et ne peuvent absorber la circulation croissante de la ville », a déclaré Olivier Bonnin, directeur commercial, Bouygues Travaux publics. « Le gouvernement accorde un degré de priorité très élevé à ce projet et nous sommes heureux de soutenir les efforts de reconstruction de la Côte-d’Ivoire. »
Le projet, originellement lancé en 1996, avait été interrompu par la guerre civile prolongée du pays. « Il est nécessaire de reconstruire l’infrastructure pour restaurer la stabilité et soutenir la croissance prometteuse de la Côte-d’Ivoire », nous dit Michel Wormser, vice-président et chef des opérations, MIGA. « L’aide de la MIGA peut être déterminante pour obtenir la participation du secteur privé dans des environnements où la perception du risque demeure élevée. Ce projet illustre également notre détermination à faciliter les investissements dans les pays fragiles et sortant d’un conflit ».