Au nom des propriétaires terriens du village d’Abadjin Kouté (situé dans la commune de Songon, route de Dabou), Kadjé Samson et Mme Asséké, présidente de la Coopérative des femmes dudit village, étaient face à la presse, le samedi 23 juin 2012 dernier. Ils ont tenu à interpeller ceux qui s’agitent autour de l’usine Tropical rubber Côte d’Ivoire (Trci), spécialisée dans le traitement de caoutchouc naturel, à propos de "l’Affaire Saphic". "Désiré Biley est un homme qui participe régulièrement au développement socio-économique de notre village. Qu’on le laisse travailler dans la paix et la sérénité", a déclaré Kadjé Samson. Pour Mme Asséké, le Pdg de la Trci (Désiré Biley) a posé de nombreuses actions pour l’épanouissement des femmes productrices d’attiéké, la création d’emplois pour les jeunes (plus de 1000 emplois au niveau des activités de l’usine) et l’éducation.
En prenant la parole, à leur suite, Désiré Biley a indiqué que la Cour suprême tranchera bientôt dans le litige qui l’oppose à certains actionnaires membres de la Société africaine de promotion de l’hévéaculture et de l’industrialisation du caoutchouc (Saphic). "A ce jour, le capital de la Trci est de 20% pour l’Etat de Côte d’Ivoire, comme au départ de l’opération, contre 8,8% pour la Saphic. Pendant que le partenaire singapourien Gmg investments y détient 51,2% et que les 20% restants m’appartiennent", a-t-il déclaré. En ce qui concerne les dividendes de la Saphic, qui sont logés, selon lui, à la Carpa, Biley a demandé à ceux qui peuvent prouver qu’ils sont actionnaires de passer à la caisse. "A la fin de chaque exercice, nous distribuons 400 millions F en dividendes et ressources disponibles de l’ordre de 16 milliards F, à ce jour. C’est le fruit d’une bonne gestion", a-t-il indiqué. L’usine Trci traite 3000 tonnes par jour et occupe la 2e place sur les 10 sociétés hévéicoles opérant en Côte d’Ivoire.
P. Tadjau
En prenant la parole, à leur suite, Désiré Biley a indiqué que la Cour suprême tranchera bientôt dans le litige qui l’oppose à certains actionnaires membres de la Société africaine de promotion de l’hévéaculture et de l’industrialisation du caoutchouc (Saphic). "A ce jour, le capital de la Trci est de 20% pour l’Etat de Côte d’Ivoire, comme au départ de l’opération, contre 8,8% pour la Saphic. Pendant que le partenaire singapourien Gmg investments y détient 51,2% et que les 20% restants m’appartiennent", a-t-il déclaré. En ce qui concerne les dividendes de la Saphic, qui sont logés, selon lui, à la Carpa, Biley a demandé à ceux qui peuvent prouver qu’ils sont actionnaires de passer à la caisse. "A la fin de chaque exercice, nous distribuons 400 millions F en dividendes et ressources disponibles de l’ordre de 16 milliards F, à ce jour. C’est le fruit d’une bonne gestion", a-t-il indiqué. L’usine Trci traite 3000 tonnes par jour et occupe la 2e place sur les 10 sociétés hévéicoles opérant en Côte d’Ivoire.
P. Tadjau
